Memoires De La Comtesse De Boigne. Tome 2, De 1820 A 1848
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- Nombre de pages722
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.36 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 3,1 cm
- ISBN2-7152-2179-7
- EAN9782715221796
- Date de parution01/09/2001
- CollectionLe Temps retrouvé
- ÉditeurMercure de France
Résumé
Couvrant près de soixante-dix ans, les Mémoires de la comtesse de Boigne occupent une place à part dans la littérature de souvenirs, ne serait-ce que par la richesse de leur information et la qualité exceptionnelle de leur style. Document irremplaçable sur toute la période qui va des dernières années de l'Ancien Régime à la révolution de 1848, ces Mémoires ont fait de la comtesse de Boigne, depuis leur première publication en 1907, un personnage quasi mythique.
Elle passe pour le caustique avocat du diable de tous les procès en canonisation de ses contemporains, la plus célèbre de ses victimes étant Chateaubriand. Ces Mémoires sont également l'œuvre d'une extraordinaire psychologue, impitoyablement lucide, qui démontre les rouages d'une société qu'elle a si bien observée et dénonce sans relâche la bêtise de sa classe sociale. Proust, qui en fut l'un des premiers lecteurs, s'enthousiasma pour les Mémoires de la comtesse de Boigne dont il salua la publication et dont il s'inspira directement pour son œuvre personnelle.
Elle passe pour le caustique avocat du diable de tous les procès en canonisation de ses contemporains, la plus célèbre de ses victimes étant Chateaubriand. Ces Mémoires sont également l'œuvre d'une extraordinaire psychologue, impitoyablement lucide, qui démontre les rouages d'une société qu'elle a si bien observée et dénonce sans relâche la bêtise de sa classe sociale. Proust, qui en fut l'un des premiers lecteurs, s'enthousiasma pour les Mémoires de la comtesse de Boigne dont il salua la publication et dont il s'inspira directement pour son œuvre personnelle.
Couvrant près de soixante-dix ans, les Mémoires de la comtesse de Boigne occupent une place à part dans la littérature de souvenirs, ne serait-ce que par la richesse de leur information et la qualité exceptionnelle de leur style. Document irremplaçable sur toute la période qui va des dernières années de l'Ancien Régime à la révolution de 1848, ces Mémoires ont fait de la comtesse de Boigne, depuis leur première publication en 1907, un personnage quasi mythique.
Elle passe pour le caustique avocat du diable de tous les procès en canonisation de ses contemporains, la plus célèbre de ses victimes étant Chateaubriand. Ces Mémoires sont également l'œuvre d'une extraordinaire psychologue, impitoyablement lucide, qui démontre les rouages d'une société qu'elle a si bien observée et dénonce sans relâche la bêtise de sa classe sociale. Proust, qui en fut l'un des premiers lecteurs, s'enthousiasma pour les Mémoires de la comtesse de Boigne dont il salua la publication et dont il s'inspira directement pour son œuvre personnelle.
Elle passe pour le caustique avocat du diable de tous les procès en canonisation de ses contemporains, la plus célèbre de ses victimes étant Chateaubriand. Ces Mémoires sont également l'œuvre d'une extraordinaire psychologue, impitoyablement lucide, qui démontre les rouages d'une société qu'elle a si bien observée et dénonce sans relâche la bêtise de sa classe sociale. Proust, qui en fut l'un des premiers lecteurs, s'enthousiasma pour les Mémoires de la comtesse de Boigne dont il salua la publication et dont il s'inspira directement pour son œuvre personnelle.