Mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir
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- Nombre de pages319
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.255 kg
- Dimensions11,5 cm × 16,5 cm × 2,8 cm
- ISBN2-7291-1646-X
- EAN9782729116460
- Date de parution14/09/2006
- CollectionMinos
- ÉditeurLa Différence
- TraducteurIsidore Lisieux
- PréfacierMichel Bulteau
Résumé
" Fanny Hill " c'est le livre de l'immoralité récompensée. Les lettres de Fanny Hill, malgré leur extrême libertinage, sont une suite d'estampes qui, comme les compositions de William Hogarth, brosse un parfait tableau des mœurs anglaises du XVIIIe siècle. La vie y est présente avec un accent de vérité incontestable. Le Londres de cette époque offrait à l'amateur de femmes toutes les ressources qu'il pouvait souhaiter : des plus crapuleuses tavernes aux plus somptueux " sérails ".
Dans une préface aux " Mémoires de Fanny Hill " (édition de 1910), Guillaume Apollinaire déclare qu'elle est " la sueur anglaise de Manon Lescaut, mais moins malheureuse ". A la grande différence de Manon Lescaut on ne sent guère de complicité entre Cleland et son héroïne. En revanche, cette chronique minutieuse éclaire le siècle et ses amusements d'une lumière sans complaisance. Cette édition reprend la traduction d'Isidore Liseux, parue à Paris en 1887, et la seule complète.
Dans une préface aux " Mémoires de Fanny Hill " (édition de 1910), Guillaume Apollinaire déclare qu'elle est " la sueur anglaise de Manon Lescaut, mais moins malheureuse ". A la grande différence de Manon Lescaut on ne sent guère de complicité entre Cleland et son héroïne. En revanche, cette chronique minutieuse éclaire le siècle et ses amusements d'une lumière sans complaisance. Cette édition reprend la traduction d'Isidore Liseux, parue à Paris en 1887, et la seule complète.
" Fanny Hill " c'est le livre de l'immoralité récompensée. Les lettres de Fanny Hill, malgré leur extrême libertinage, sont une suite d'estampes qui, comme les compositions de William Hogarth, brosse un parfait tableau des mœurs anglaises du XVIIIe siècle. La vie y est présente avec un accent de vérité incontestable. Le Londres de cette époque offrait à l'amateur de femmes toutes les ressources qu'il pouvait souhaiter : des plus crapuleuses tavernes aux plus somptueux " sérails ".
Dans une préface aux " Mémoires de Fanny Hill " (édition de 1910), Guillaume Apollinaire déclare qu'elle est " la sueur anglaise de Manon Lescaut, mais moins malheureuse ". A la grande différence de Manon Lescaut on ne sent guère de complicité entre Cleland et son héroïne. En revanche, cette chronique minutieuse éclaire le siècle et ses amusements d'une lumière sans complaisance. Cette édition reprend la traduction d'Isidore Liseux, parue à Paris en 1887, et la seule complète.
Dans une préface aux " Mémoires de Fanny Hill " (édition de 1910), Guillaume Apollinaire déclare qu'elle est " la sueur anglaise de Manon Lescaut, mais moins malheureuse ". A la grande différence de Manon Lescaut on ne sent guère de complicité entre Cleland et son héroïne. En revanche, cette chronique minutieuse éclaire le siècle et ses amusements d'une lumière sans complaisance. Cette édition reprend la traduction d'Isidore Liseux, parue à Paris en 1887, et la seule complète.