Memoires D'Une Reine De Coree

Par : Dame Hong

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages222
  • FormatPoche
  • Poids0.16 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-87730-628-3
  • EAN9782877306287
  • Date de parution27/11/2002
  • CollectionPicquier poche
  • ÉditeurPhilippe Picquier

Résumé

Dame Hong, épouse du prince héritier qui devait devenir le vingt-deuxième roi de la dynastie Yi, commença à rédiger ses Mémoires en 1796, à l'âge de soixante ans, pour l'édification de son propre petit-fils, le roi Sunjo. Elle en a soixante et onze lorsqu'elle les termine. Elle tient la chronique minutieuse de la vie quotidienne à la cour, sous la discipline et l'étiquette rigoureuse de l'époque, en même temps que le journal de ses années de bonheur bientôt éclipsées par des tragédies familiales comme la folie du prince héritier, son époux, qui fut exécuté sur l'ordre de son propre père. Sans doute habituée à devoir maîtriser ses sentiments, elle parle avec une grande retenue, même si l'on sent poindre çà et là la colère, la peine ou l'indignation, dans une prose élégante et d'une rare délicatesse qui n'a pas d'équivalent dans la littérature coréenne.
Dame Hong, épouse du prince héritier qui devait devenir le vingt-deuxième roi de la dynastie Yi, commença à rédiger ses Mémoires en 1796, à l'âge de soixante ans, pour l'édification de son propre petit-fils, le roi Sunjo. Elle en a soixante et onze lorsqu'elle les termine. Elle tient la chronique minutieuse de la vie quotidienne à la cour, sous la discipline et l'étiquette rigoureuse de l'époque, en même temps que le journal de ses années de bonheur bientôt éclipsées par des tragédies familiales comme la folie du prince héritier, son époux, qui fut exécuté sur l'ordre de son propre père. Sans doute habituée à devoir maîtriser ses sentiments, elle parle avec une grande retenue, même si l'on sent poindre çà et là la colère, la peine ou l'indignation, dans une prose élégante et d'une rare délicatesse qui n'a pas d'équivalent dans la littérature coréenne.