Mémoires d'Islande

Par : Vanessa Doutreleau

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  • Nombre de pages140
  • PrésentationBroché
  • Poids0.001 kg
  • Dimensions14,0 cm × 18,0 cm × 0,1 cm
  • ISBN978-2-84623-107-7
  • EAN9782846231077
  • Date de parution01/09/2012
  • ÉditeurAtelier des Brisants (L')

Résumé

Patreksfjôrâur,Tàlknafjôrdur, Grundarfjôrôur, Fàskruâsfjôr8ur, Skeibarksandur...des noms qui ont marqué l'histoire de la Grande Pêche en Islande ; certains comme lieux fréquentés par les pêcheurs bretons et du nord de la France, d'autres pour avoir été le théâtre de naufrages et échouages. Des noms auxquels répondent ceux de Manon, Saint Paul, Lieutenant Boyau, Aurore, Camille, comme autant de navires qui se sont un jour accrochés à l'Islande; autant de liens inscrits à jamais entre les communes islandaises de Paimpol, Ploubazlanec, Gravelines, Dunkerque et " l'île blanche " du lointain nord... De cette histoire, il ne reste guère que quelques traces : cimetières marins, tombes éparses, anciens hôpitaux français, maisons des oeuvres de mer, ou encore, objets provenant d'échanges et plus souvent de naufrages.
Telle une invitation à remonter le temps, ces objets nous parlent d'échanges culturels et techniques, et plus souvent, des rivages où ils sont nés en tant qu'objets échoués, enfantés par une mer devenue un jour monstrueuse. Ces humbles vestiges témoignent aussi des relations qui unirent, le temps d'une à plusieurs saisons de pêche, un peuple à un autre, les Islandais aux pêcheurs d'Islande, que l'on appelait aussi les « Islandais ».
Les paysages et récits d'objets choisis par les auteurs, Vanessa Doutreleau, ethnologue, et Hervé Jézéquel, photographe, témoignent de cette émouvante histoire, souvent racontée depuis les côtes françaises mais rarement depuis les rivages islandais. Un récit raconté à travers des monuments de peu qui se mettent à parler une autre langue, mis en lumière dans un dialogue incessant entre photographies et histoires.
Patreksfjôrâur,Tàlknafjôrdur, Grundarfjôrôur, Fàskruâsfjôr8ur, Skeibarksandur...des noms qui ont marqué l'histoire de la Grande Pêche en Islande ; certains comme lieux fréquentés par les pêcheurs bretons et du nord de la France, d'autres pour avoir été le théâtre de naufrages et échouages. Des noms auxquels répondent ceux de Manon, Saint Paul, Lieutenant Boyau, Aurore, Camille, comme autant de navires qui se sont un jour accrochés à l'Islande; autant de liens inscrits à jamais entre les communes islandaises de Paimpol, Ploubazlanec, Gravelines, Dunkerque et " l'île blanche " du lointain nord... De cette histoire, il ne reste guère que quelques traces : cimetières marins, tombes éparses, anciens hôpitaux français, maisons des oeuvres de mer, ou encore, objets provenant d'échanges et plus souvent de naufrages.
Telle une invitation à remonter le temps, ces objets nous parlent d'échanges culturels et techniques, et plus souvent, des rivages où ils sont nés en tant qu'objets échoués, enfantés par une mer devenue un jour monstrueuse. Ces humbles vestiges témoignent aussi des relations qui unirent, le temps d'une à plusieurs saisons de pêche, un peuple à un autre, les Islandais aux pêcheurs d'Islande, que l'on appelait aussi les « Islandais ».
Les paysages et récits d'objets choisis par les auteurs, Vanessa Doutreleau, ethnologue, et Hervé Jézéquel, photographe, témoignent de cette émouvante histoire, souvent racontée depuis les côtes françaises mais rarement depuis les rivages islandais. Un récit raconté à travers des monuments de peu qui se mettent à parler une autre langue, mis en lumière dans un dialogue incessant entre photographies et histoires.