Mémoire des Leuques ; le temps du rêve lorrain
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.72 kg
- Dimensions21,0 cm × 24,0 cm × 13,0 cm
- ISBN978-2-35763-012-3
- EAN9782357630123
- Date de parution05/03/2011
- ÉditeurGérard Louis
Résumé
A l’époque gallo-romaine, deux peu- ples de la Gaule belgique, les Leuques au Sud et les Médiomatriques au Nord, occupent la majeure partie de la Lorraine actuelle. Toul, Tullum Leucorum, est la capitale des Leuques. Un grand nombre de sites porte encore les traces de cette civilisation devenue mythique : Grand, Scarpone, Naix, Boviolles, Soulosse, Escles, Saint-Dié... Les traditions ancestrales, contes, légendes, croyances, durablement an- crées dans “l’esprit lorrain” témoignent d’une fidélité aux rêves et confirment la nécessité, au début du XXIe siècle d’une meilleure compréhension de notre histoire et de notre environnement. L’historien, le chercheur ont un devoir de mémoire vis-à-vis des mythes et des traditions populaires. Les collecter et les étudier, c’est respecter ceux qui nous les ont légués et nous relier à eux. C’est aussi et surtout, à travers eux, mieux se connaître soi-même et, à l’instar des Aborigènes australiens, renouer avec le Temps du Rêve qui nous fait tant défaut aujourd’hui.
A l’époque gallo-romaine, deux peu- ples de la Gaule belgique, les Leuques au Sud et les Médiomatriques au Nord, occupent la majeure partie de la Lorraine actuelle. Toul, Tullum Leucorum, est la capitale des Leuques. Un grand nombre de sites porte encore les traces de cette civilisation devenue mythique : Grand, Scarpone, Naix, Boviolles, Soulosse, Escles, Saint-Dié... Les traditions ancestrales, contes, légendes, croyances, durablement an- crées dans “l’esprit lorrain” témoignent d’une fidélité aux rêves et confirment la nécessité, au début du XXIe siècle d’une meilleure compréhension de notre histoire et de notre environnement. L’historien, le chercheur ont un devoir de mémoire vis-à-vis des mythes et des traditions populaires. Les collecter et les étudier, c’est respecter ceux qui nous les ont légués et nous relier à eux. C’est aussi et surtout, à travers eux, mieux se connaître soi-même et, à l’instar des Aborigènes australiens, renouer avec le Temps du Rêve qui nous fait tant défaut aujourd’hui.