Mehmet Isa, architecte du Taj Mahal

Par : Fahri Balliu
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  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.155 kg
  • Dimensions13,1 cm × 23,6 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-8289-1308-3
  • EAN9782828913083
  • Date de parution07/02/2013
  • ÉditeurFavre
  • TraducteurArben Leskaj
  • PréfacierVirgjil Muçi

Résumé

Plusieurs sources attribuent à Mehmet Isa, un architecte d'origine albanaise, la conception du Taj Mahal, grande merveille du génie humain. La légende nous apprend que le monarque sanguinaire qui commanda ce travail, l'empereur moghol de l'Inde du XVIIe siècle le Shah Jahan, le fit ensuite aveugler, afin qu'il ne puisse plus réaliser un autre chef-d'oeuvre de la même grandeur et de la même grâce. Ce roman de Fahri Balliu, inspiré par le sort tragique de Mehmet Isa, a été écrit en Albanie au temps de la dictature et constitue une puissante métaphore contre les tyrans quels qu'ils soient, mais aussi contre le culte de la mort dont se sont nourris habituellement leur paranoïa et leur désir d'immortalité.
Shah Jahan en est le parfait exemple. Lorsque son épouse, la belle Mumtaz-i Mahal, disparaît, il ordonne de construire le Taj Mahal, le mausolée qui allait perpétuer sa mémoire et pour lequel, comme le racontent les chroniques contemporaines, il a fallu vingt-deux ans de travail par vingt-deux mille hommes rassemblés de tous les coins de l'Empire et mille éléphants. Par un style truculent, l'auteur a reconstruit l'atmosphère de l'époque et les intrigues orientales de la cour du Shah, un Moghol cruel et un veuf inconsolable, qui a tenté de dominer non seulement la vie et la mort de ses sujets, mais aussi leurs âmes.
Plusieurs sources attribuent à Mehmet Isa, un architecte d'origine albanaise, la conception du Taj Mahal, grande merveille du génie humain. La légende nous apprend que le monarque sanguinaire qui commanda ce travail, l'empereur moghol de l'Inde du XVIIe siècle le Shah Jahan, le fit ensuite aveugler, afin qu'il ne puisse plus réaliser un autre chef-d'oeuvre de la même grandeur et de la même grâce. Ce roman de Fahri Balliu, inspiré par le sort tragique de Mehmet Isa, a été écrit en Albanie au temps de la dictature et constitue une puissante métaphore contre les tyrans quels qu'ils soient, mais aussi contre le culte de la mort dont se sont nourris habituellement leur paranoïa et leur désir d'immortalité.
Shah Jahan en est le parfait exemple. Lorsque son épouse, la belle Mumtaz-i Mahal, disparaît, il ordonne de construire le Taj Mahal, le mausolée qui allait perpétuer sa mémoire et pour lequel, comme le racontent les chroniques contemporaines, il a fallu vingt-deux ans de travail par vingt-deux mille hommes rassemblés de tous les coins de l'Empire et mille éléphants. Par un style truculent, l'auteur a reconstruit l'atmosphère de l'époque et les intrigues orientales de la cour du Shah, un Moghol cruel et un veuf inconsolable, qui a tenté de dominer non seulement la vie et la mort de ses sujets, mais aussi leurs âmes.