Méditations cartésiennes
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- Nombre de pages389
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.55 kg
- Dimensions15,1 cm × 24,6 cm × 3,6 cm
- ISBN2-7427-1021-3
- EAN9782742710218
- Date de parution06/07/1998
- ÉditeurActes Sud
Résumé
C'est à un philosophe géorgien, Merab Mamardachvili, qu'on devra sans doute le renouvellement de l'approche du philosophe français par excellence : Descartes.
Evènement dans la pensée, cette lecture de l'œuvre de Descartes relève d'une démarche livre et inventive, soucieuse de démystifier la légende de la clarté cartésienne, légende à laquelle Merab Mamardachvili préfère substituer une élucidation de l'énigme Descartes - ce " mystère en pleine lumière ".
Déjouant, dans les années quatre-vingt, le carcan d'une idéologie d'Etat en vigueur au moment où se tiennent les séminaires dont est issu l'ouvrage, ces Méditations cartésiennes parviennent à se dégager des rituels philosophiques - ceux que Descartes lui-même récusait au passage comme la langue de " l'Etoile ".
A l'heure du " grand retour de la philosophie ", il importe de découvrir la pensée anticonformiste et rigoureuse d'un Merab Mamardachvili qui devait permettre à toute une génération de " philosopher " loin d'un marxisme-léninisme sclérosé, afin de mieux rencontrer ce connaissant libre et sans cesse renaissant : un Descartes " sans le cartésianisme ".
C'est à un philosophe géorgien, Merab Mamardachvili, qu'on devra sans doute le renouvellement de l'approche du philosophe français par excellence : Descartes.
Evènement dans la pensée, cette lecture de l'œuvre de Descartes relève d'une démarche livre et inventive, soucieuse de démystifier la légende de la clarté cartésienne, légende à laquelle Merab Mamardachvili préfère substituer une élucidation de l'énigme Descartes - ce " mystère en pleine lumière ".
Déjouant, dans les années quatre-vingt, le carcan d'une idéologie d'Etat en vigueur au moment où se tiennent les séminaires dont est issu l'ouvrage, ces Méditations cartésiennes parviennent à se dégager des rituels philosophiques - ceux que Descartes lui-même récusait au passage comme la langue de " l'Etoile ".
A l'heure du " grand retour de la philosophie ", il importe de découvrir la pensée anticonformiste et rigoureuse d'un Merab Mamardachvili qui devait permettre à toute une génération de " philosopher " loin d'un marxisme-léninisme sclérosé, afin de mieux rencontrer ce connaissant libre et sans cesse renaissant : un Descartes " sans le cartésianisme ".