Médecin itinérant dans les campagnes françaises

Par : Benoît Gaumer

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  • PrésentationBroché
  • ISBN978-2-7543-0501-3
  • EAN9782754305013
  • CollectionPR.PAULO RAMAND
  • ÉditeurPaulo Ramand

Résumé

Pour l'auteur Français et Canadien de ces carnets de route romancés, il s'agit de l'une des ses plus belles expériences professionnelles. Destiné à la médecine de campagne, il s'était préparé, tout au long de son externat dans les hôpitaux parisiens, au cours des années 1964 à 1968, à ce service qu'il estimait devoir rendre à son milieu d'origine. Attiré pour d'obscures raisons par le Canada et plus précisément le Québec, "la Province qui se souvient" , il envisagea à cette époque d'y compléter une résidence en médecine interne ou en psychiatrie et de s'y installer.
Sa carrière sera toute autre et se déroulera durant plusieurs années comme médecin coopérant, en Tunisie d'abord, médecin hygiéniste épidémiologiste à Sousse, ensuite en Algérie à l'Institut national de santé publique, puis à nouveau en Tunisie à la Faculté de médecine de Sousse. Mais le rêve canadien était toujours là et prendra forme, à l'été 1984. Ne pouvant pratiquer la clinique, en raison du protectionisme du Collège.
Pour l'auteur Français et Canadien de ces carnets de route romancés, il s'agit de l'une des ses plus belles expériences professionnelles. Destiné à la médecine de campagne, il s'était préparé, tout au long de son externat dans les hôpitaux parisiens, au cours des années 1964 à 1968, à ce service qu'il estimait devoir rendre à son milieu d'origine. Attiré pour d'obscures raisons par le Canada et plus précisément le Québec, "la Province qui se souvient" , il envisagea à cette époque d'y compléter une résidence en médecine interne ou en psychiatrie et de s'y installer.
Sa carrière sera toute autre et se déroulera durant plusieurs années comme médecin coopérant, en Tunisie d'abord, médecin hygiéniste épidémiologiste à Sousse, ensuite en Algérie à l'Institut national de santé publique, puis à nouveau en Tunisie à la Faculté de médecine de Sousse. Mais le rêve canadien était toujours là et prendra forme, à l'été 1984. Ne pouvant pratiquer la clinique, en raison du protectionisme du Collège.