Médecin catholique, pourquoi je pratique l'euthanasie
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- Nombre de pages231
- PrésentationBroché
- Poids0.312 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-7509-0864-5
- EAN9782750908645
- Date de parution11/09/2014
- ÉditeurPresses de la Renaissance
- PréfacierVéronique Margron
- PostfacierGabriel Ringlet
Résumé
Depuis l'origine, les chrétiens sont en première ligne pour la défense d'une fin de vie digne, et mobilisés contre l'euthanasie. Pour Corinne Van Oost, chrétienne engagée et médecin en soins palliatifs en Belgique, il en va autrement. Si elle était contre la loi au moment de sa promulgation il y a dix ans, c'est au nom de sa foi qu'elle accepte désormais de pratiquer les euthanasies aux patients qui en font la demande : « J'en ai assez d'entendre des médecins cathos expliquer que c'est au nom de leur foi qu'ils refusent de pratiquer des euthanasies.
De mon côté, quand j'ai l'intime conviction que ne peux plus soulager autrement le patient, j'estime que je n'ai pas le droit de m'abriter derrière ma foi pour me soustraire à ce geste. La personne face à moi a la priorité sur mes convictions ! » Se basant sur son engagement vécu au quotidien à l'hôpital et sa réflexion à la recherche du « moindre mal », elle cherche aujourd'hui à mettre en place un rituel pour permette à l'Eglise d'être présente aux côtés du malade qui vit cette expérience humaine inédite d'une mort anticipée et encadrée.
Ce qui n'est pas sans déclencher des levers de boucliers. A l'heure où la France est en plein débat sur l'euthanasie - François Hollande a lancé une commission d'enquête peu après son élection : un projet de loi pourrait voir le jour fin 2014 -, voici un témoignage édifiant, fruit d'un cheminement humain et spirituel longuement mûri.
De mon côté, quand j'ai l'intime conviction que ne peux plus soulager autrement le patient, j'estime que je n'ai pas le droit de m'abriter derrière ma foi pour me soustraire à ce geste. La personne face à moi a la priorité sur mes convictions ! » Se basant sur son engagement vécu au quotidien à l'hôpital et sa réflexion à la recherche du « moindre mal », elle cherche aujourd'hui à mettre en place un rituel pour permette à l'Eglise d'être présente aux côtés du malade qui vit cette expérience humaine inédite d'une mort anticipée et encadrée.
Ce qui n'est pas sans déclencher des levers de boucliers. A l'heure où la France est en plein débat sur l'euthanasie - François Hollande a lancé une commission d'enquête peu après son élection : un projet de loi pourrait voir le jour fin 2014 -, voici un témoignage édifiant, fruit d'un cheminement humain et spirituel longuement mûri.
Depuis l'origine, les chrétiens sont en première ligne pour la défense d'une fin de vie digne, et mobilisés contre l'euthanasie. Pour Corinne Van Oost, chrétienne engagée et médecin en soins palliatifs en Belgique, il en va autrement. Si elle était contre la loi au moment de sa promulgation il y a dix ans, c'est au nom de sa foi qu'elle accepte désormais de pratiquer les euthanasies aux patients qui en font la demande : « J'en ai assez d'entendre des médecins cathos expliquer que c'est au nom de leur foi qu'ils refusent de pratiquer des euthanasies.
De mon côté, quand j'ai l'intime conviction que ne peux plus soulager autrement le patient, j'estime que je n'ai pas le droit de m'abriter derrière ma foi pour me soustraire à ce geste. La personne face à moi a la priorité sur mes convictions ! » Se basant sur son engagement vécu au quotidien à l'hôpital et sa réflexion à la recherche du « moindre mal », elle cherche aujourd'hui à mettre en place un rituel pour permette à l'Eglise d'être présente aux côtés du malade qui vit cette expérience humaine inédite d'une mort anticipée et encadrée.
Ce qui n'est pas sans déclencher des levers de boucliers. A l'heure où la France est en plein débat sur l'euthanasie - François Hollande a lancé une commission d'enquête peu après son élection : un projet de loi pourrait voir le jour fin 2014 -, voici un témoignage édifiant, fruit d'un cheminement humain et spirituel longuement mûri.
De mon côté, quand j'ai l'intime conviction que ne peux plus soulager autrement le patient, j'estime que je n'ai pas le droit de m'abriter derrière ma foi pour me soustraire à ce geste. La personne face à moi a la priorité sur mes convictions ! » Se basant sur son engagement vécu au quotidien à l'hôpital et sa réflexion à la recherche du « moindre mal », elle cherche aujourd'hui à mettre en place un rituel pour permette à l'Eglise d'être présente aux côtés du malade qui vit cette expérience humaine inédite d'une mort anticipée et encadrée.
Ce qui n'est pas sans déclencher des levers de boucliers. A l'heure où la France est en plein débat sur l'euthanasie - François Hollande a lancé une commission d'enquête peu après son élection : un projet de loi pourrait voir le jour fin 2014 -, voici un témoignage édifiant, fruit d'un cheminement humain et spirituel longuement mûri.