Marseille ville natale. Une autobiographie
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- Nombre de pages224
- Poids1.43 kg
- Dimensions21,0 cm × 28,0 cm × 3,0 cm
- ISBN979-10-90371-23-1
- EAN9791090371231
- Date de parution01/06/2013
- ÉditeurTrans Photographic Press
Résumé
J'ai habité Marseille jusqu'à l'âge de vingt et un ans. Depuis 1985, je n'y vis plus. Mais je reste un "marseillais". À chaque retour dans ma ville natale, je suis le même trajet, attiré, aimanté, par le bord de mer. Je marche de la Joliette au Prado, de la Pointe Rouge à Callelongue... Et je photographie. Si j'aime autant les grandes villes, les voyages lointains et les montagnes rocailleuses c'est à Marseille que je le dois.
L'urbain, l'ailleurs, le minéral, les trois fondements de mon parcours photographique existent à Marseille. Ils en sont les racines. Aujourd'hui, trop d'images, trop de clichés circulent sur la ville. Car ici on parle trop fort, trop vite, trop longtemps; Marseille a surtout besoin qu'on la laisse tranquille et qu'on écoute le vent, la mer et les mouettes du Frioul...
L'urbain, l'ailleurs, le minéral, les trois fondements de mon parcours photographique existent à Marseille. Ils en sont les racines. Aujourd'hui, trop d'images, trop de clichés circulent sur la ville. Car ici on parle trop fort, trop vite, trop longtemps; Marseille a surtout besoin qu'on la laisse tranquille et qu'on écoute le vent, la mer et les mouettes du Frioul...
J'ai habité Marseille jusqu'à l'âge de vingt et un ans. Depuis 1985, je n'y vis plus. Mais je reste un "marseillais". À chaque retour dans ma ville natale, je suis le même trajet, attiré, aimanté, par le bord de mer. Je marche de la Joliette au Prado, de la Pointe Rouge à Callelongue... Et je photographie. Si j'aime autant les grandes villes, les voyages lointains et les montagnes rocailleuses c'est à Marseille que je le dois.
L'urbain, l'ailleurs, le minéral, les trois fondements de mon parcours photographique existent à Marseille. Ils en sont les racines. Aujourd'hui, trop d'images, trop de clichés circulent sur la ville. Car ici on parle trop fort, trop vite, trop longtemps; Marseille a surtout besoin qu'on la laisse tranquille et qu'on écoute le vent, la mer et les mouettes du Frioul...
L'urbain, l'ailleurs, le minéral, les trois fondements de mon parcours photographique existent à Marseille. Ils en sont les racines. Aujourd'hui, trop d'images, trop de clichés circulent sur la ville. Car ici on parle trop fort, trop vite, trop longtemps; Marseille a surtout besoin qu'on la laisse tranquille et qu'on écoute le vent, la mer et les mouettes du Frioul...