Marcher, Créer. Déplacements, flâneries, dérives dans l'art de la fin du XXe siècle

Par : Thierry Davila

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  • Nombre de pages191
  • PrésentationBroché
  • Poids0.39 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-84105-205-9
  • EAN9782841052059
  • Date de parution17/04/2007
  • ÉditeurRegard (Editions du)

Résumé

Ce livre part d'un constat: une partie de l'art actuel accorde au déplacement un rôle majeur dans l'invention des œuvres. En ce sens elle ne fait que participer de l'histoire générale de l'art dans laquelle la figure de l'homme qui marche est essentielle. La façon cependant dont cette question est aujourd'hui traitée par les artistes est suffisamment singulière pour mériter une analyse à part entière. C'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui n'est pas un panorama de la fonction plastique du nomadisme mais un choix opéré à partir de recherches contemporaines (essentiellement Gabriel Orozco, Francis Atys, le laboratoire Stalker) exemplaires de cette question dont il met en évidence les règles et les mécanismes d'action. Apparaît alors un univers où le déplacement est non seulement le moyen d'une translation spatiale mais également un fait psychique, un outil de fiction ou encore l'autre nom de la production. Cette cinéplastique qui fait de la ville son théâtre d'opérations, ces déplacements aux multiples résonances tracent le visage d'un monde où le réel est un processus. C'est le côté " chinois " de ces artistes et de leurs œuvres.
Ce livre part d'un constat: une partie de l'art actuel accorde au déplacement un rôle majeur dans l'invention des œuvres. En ce sens elle ne fait que participer de l'histoire générale de l'art dans laquelle la figure de l'homme qui marche est essentielle. La façon cependant dont cette question est aujourd'hui traitée par les artistes est suffisamment singulière pour mériter une analyse à part entière. C'est ce à quoi s'applique cet ouvrage qui n'est pas un panorama de la fonction plastique du nomadisme mais un choix opéré à partir de recherches contemporaines (essentiellement Gabriel Orozco, Francis Atys, le laboratoire Stalker) exemplaires de cette question dont il met en évidence les règles et les mécanismes d'action. Apparaît alors un univers où le déplacement est non seulement le moyen d'une translation spatiale mais également un fait psychique, un outil de fiction ou encore l'autre nom de la production. Cette cinéplastique qui fait de la ville son théâtre d'opérations, ces déplacements aux multiples résonances tracent le visage d'un monde où le réel est un processus. C'est le côté " chinois " de ces artistes et de leurs œuvres.
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