Manieres De Faire Toutes Confitures
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages90
- PrésentationBroché
- Poids0.15 kg
- Dimensions11,9 cm × 18,3 cm × 0,8 cm
- ISBN2-84190-046-0
- EAN9782841900466
- Date de parution13/02/2001
- Collectionmots & merveilles
- ÉditeurAventurine (L')
Résumé
Le XVIe siècle est le siècle des confiseries ! Le sucre, abominablement onéreux, bien souvent frelaté, y fait néanmoins une entrée triomphale. En 1555, Nostradamus, alors fameux médecin exerçant à Aix-en-Provence, publie un Petit traité des fardements et confitures. Ce livre eut un immense succès dès sa parution et connut de nombreuses éditions successives. La seconde partie de ce traité, publiée ici, propose différentes méthodes de conservation des fruits sous forme de confitures, ainsi que la recette de certaines médecines secrètes de l'auteur, où le sucre aux vertus curatives occupe une place d'honneur. Dans une écriture tout empreinte des nombreuses langues que Nostradamus a côtoyées, celui-ci glisse au milieu de ses recettes des commentaires acides sur la nullité de ses collègues et des remarques très judicieuses sur la nécessité de l'hygiène.
Le XVIe siècle est le siècle des confiseries ! Le sucre, abominablement onéreux, bien souvent frelaté, y fait néanmoins une entrée triomphale. En 1555, Nostradamus, alors fameux médecin exerçant à Aix-en-Provence, publie un Petit traité des fardements et confitures. Ce livre eut un immense succès dès sa parution et connut de nombreuses éditions successives. La seconde partie de ce traité, publiée ici, propose différentes méthodes de conservation des fruits sous forme de confitures, ainsi que la recette de certaines médecines secrètes de l'auteur, où le sucre aux vertus curatives occupe une place d'honneur. Dans une écriture tout empreinte des nombreuses langues que Nostradamus a côtoyées, celui-ci glisse au milieu de ses recettes des commentaires acides sur la nullité de ses collègues et des remarques très judicieuses sur la nécessité de l'hygiène.