Manger et boire. Entre 1914 & 1918
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- Nombre de pages207
- PrésentationBroché
- Poids0.96 kg
- Dimensions21,3 cm × 27,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-94-6161-278-6
- EAN9789461612786
- Date de parution14/01/2016
- ÉditeurSnoeck - Gent
Résumé
Dans un contexte historiographique accordant une large place à la culture matérielle, au quotidien, aux hommes, à "l'histoire d'en bas", au corps, aux conditions de vie, aux témoignages, à l'histoire expérimentale, cet ouvrage apporte un éclairage particulier sur la Grande Guerre, sous l'angle de l'alimentation, grâce aux contributions d'historiens spécialistes de la période et de la bibliothèque municipale de Dijon, dont le fonds gourmand est une référence nationale.
Ce biais de l'alimentation a été encore peu étudié pour lui-même. Pourtant, se nourrir est à la fois un besoin humain premier, un facteur de bien-être ou de cafard, un enjeu aux multiples facettes – sanitaire, économique, industrielle, logistique, symbolique qui ne peut qu'intéresser la recherche actuelle sur la Grande Guerre.
Ce biais de l'alimentation a été encore peu étudié pour lui-même. Pourtant, se nourrir est à la fois un besoin humain premier, un facteur de bien-être ou de cafard, un enjeu aux multiples facettes – sanitaire, économique, industrielle, logistique, symbolique qui ne peut qu'intéresser la recherche actuelle sur la Grande Guerre.
Dans un contexte historiographique accordant une large place à la culture matérielle, au quotidien, aux hommes, à "l'histoire d'en bas", au corps, aux conditions de vie, aux témoignages, à l'histoire expérimentale, cet ouvrage apporte un éclairage particulier sur la Grande Guerre, sous l'angle de l'alimentation, grâce aux contributions d'historiens spécialistes de la période et de la bibliothèque municipale de Dijon, dont le fonds gourmand est une référence nationale.
Ce biais de l'alimentation a été encore peu étudié pour lui-même. Pourtant, se nourrir est à la fois un besoin humain premier, un facteur de bien-être ou de cafard, un enjeu aux multiples facettes – sanitaire, économique, industrielle, logistique, symbolique qui ne peut qu'intéresser la recherche actuelle sur la Grande Guerre.
Ce biais de l'alimentation a été encore peu étudié pour lui-même. Pourtant, se nourrir est à la fois un besoin humain premier, un facteur de bien-être ou de cafard, un enjeu aux multiples facettes – sanitaire, économique, industrielle, logistique, symbolique qui ne peut qu'intéresser la recherche actuelle sur la Grande Guerre.