Main basse sur la langue. Idéologie et interventionnisme linguistique au Québec
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- Nombre de pages512
- PrésentationBroché
- Poids0.765 kg
- Dimensions15,3 cm × 22,8 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-89578-198-1
- EAN9782895781981
- Date de parution01/02/2010
- ÉditeurLiber (Editions)
Résumé
Au Québec, la question de la langue est l'objet de débats permanents. On s'inquiète régulièrement aussi bien des menaces entourant le statut du français face à la concurrence de l'anglais que de la piètre qualité de la langue dans de larges secteurs de la société (école, medias, etc.). Or, on ne peut pas évaluer la qualité de la langue sans avoir des critères de jugement, un modèle de référence, une norme linguistique.
Deux positions s'opposent à cet égard : pour les uns, les Québécois doivent observer et observent la norme commune à tous les francophones, le "français standard international" ; pour d'autres, le Québec n'étant pas la France, le parler des Québécois ne peut pas être semblable à celui des Français, ni leur norme linguistique à celle de Paris. A leurs yeux, il existerait donc un "français québécois standard" , qu'il serait urgent de rendre explicite, notamment dans un dictionnaire propre, bien démarqué de ceux faits en France.
Malheureusement, toutes les tentatives dans ce sens (comme le Dictionnaire québécois d'aujourd'hui, le Dictionnaire historique du français québécois et le Grand dictionnaire terminologique) sont des échecs. Et tout permet de prédire que les projets engagés dans le même sens (comme Le français vu du Québec du groupe Franqus) se dirigent vers le même résultat après avoir coûté très cher au contribuable.
Cet ouvrage est une critique des positions théoriques indigénistes et des produits dictionnairiques qu'elles ont inspirés. La profonde compréhension de la langue qui le soutient, la démonstration solidement documentée qu'il mène, l'humour au vitriol qui le ponctue, en font une mise au point magistrale sur l'état de la langue au Québec et un guide sûr pour la tache qui attend ceux qui veulent outiller les Québécois des meilleures connaissances et des meilleurs produits linguistiques sans les isoler du reste de la francophonie.
Deux positions s'opposent à cet égard : pour les uns, les Québécois doivent observer et observent la norme commune à tous les francophones, le "français standard international" ; pour d'autres, le Québec n'étant pas la France, le parler des Québécois ne peut pas être semblable à celui des Français, ni leur norme linguistique à celle de Paris. A leurs yeux, il existerait donc un "français québécois standard" , qu'il serait urgent de rendre explicite, notamment dans un dictionnaire propre, bien démarqué de ceux faits en France.
Malheureusement, toutes les tentatives dans ce sens (comme le Dictionnaire québécois d'aujourd'hui, le Dictionnaire historique du français québécois et le Grand dictionnaire terminologique) sont des échecs. Et tout permet de prédire que les projets engagés dans le même sens (comme Le français vu du Québec du groupe Franqus) se dirigent vers le même résultat après avoir coûté très cher au contribuable.
Cet ouvrage est une critique des positions théoriques indigénistes et des produits dictionnairiques qu'elles ont inspirés. La profonde compréhension de la langue qui le soutient, la démonstration solidement documentée qu'il mène, l'humour au vitriol qui le ponctue, en font une mise au point magistrale sur l'état de la langue au Québec et un guide sûr pour la tache qui attend ceux qui veulent outiller les Québécois des meilleures connaissances et des meilleurs produits linguistiques sans les isoler du reste de la francophonie.
Au Québec, la question de la langue est l'objet de débats permanents. On s'inquiète régulièrement aussi bien des menaces entourant le statut du français face à la concurrence de l'anglais que de la piètre qualité de la langue dans de larges secteurs de la société (école, medias, etc.). Or, on ne peut pas évaluer la qualité de la langue sans avoir des critères de jugement, un modèle de référence, une norme linguistique.
Deux positions s'opposent à cet égard : pour les uns, les Québécois doivent observer et observent la norme commune à tous les francophones, le "français standard international" ; pour d'autres, le Québec n'étant pas la France, le parler des Québécois ne peut pas être semblable à celui des Français, ni leur norme linguistique à celle de Paris. A leurs yeux, il existerait donc un "français québécois standard" , qu'il serait urgent de rendre explicite, notamment dans un dictionnaire propre, bien démarqué de ceux faits en France.
Malheureusement, toutes les tentatives dans ce sens (comme le Dictionnaire québécois d'aujourd'hui, le Dictionnaire historique du français québécois et le Grand dictionnaire terminologique) sont des échecs. Et tout permet de prédire que les projets engagés dans le même sens (comme Le français vu du Québec du groupe Franqus) se dirigent vers le même résultat après avoir coûté très cher au contribuable.
Cet ouvrage est une critique des positions théoriques indigénistes et des produits dictionnairiques qu'elles ont inspirés. La profonde compréhension de la langue qui le soutient, la démonstration solidement documentée qu'il mène, l'humour au vitriol qui le ponctue, en font une mise au point magistrale sur l'état de la langue au Québec et un guide sûr pour la tache qui attend ceux qui veulent outiller les Québécois des meilleures connaissances et des meilleurs produits linguistiques sans les isoler du reste de la francophonie.
Deux positions s'opposent à cet égard : pour les uns, les Québécois doivent observer et observent la norme commune à tous les francophones, le "français standard international" ; pour d'autres, le Québec n'étant pas la France, le parler des Québécois ne peut pas être semblable à celui des Français, ni leur norme linguistique à celle de Paris. A leurs yeux, il existerait donc un "français québécois standard" , qu'il serait urgent de rendre explicite, notamment dans un dictionnaire propre, bien démarqué de ceux faits en France.
Malheureusement, toutes les tentatives dans ce sens (comme le Dictionnaire québécois d'aujourd'hui, le Dictionnaire historique du français québécois et le Grand dictionnaire terminologique) sont des échecs. Et tout permet de prédire que les projets engagés dans le même sens (comme Le français vu du Québec du groupe Franqus) se dirigent vers le même résultat après avoir coûté très cher au contribuable.
Cet ouvrage est une critique des positions théoriques indigénistes et des produits dictionnairiques qu'elles ont inspirés. La profonde compréhension de la langue qui le soutient, la démonstration solidement documentée qu'il mène, l'humour au vitriol qui le ponctue, en font une mise au point magistrale sur l'état de la langue au Québec et un guide sûr pour la tache qui attend ceux qui veulent outiller les Québécois des meilleures connaissances et des meilleurs produits linguistiques sans les isoler du reste de la francophonie.