Ma communale avait raison
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- Nombre de pages335
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.46 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,7 cm
- ISBN2-258-04775-7
- EAN9782258047754
- Date de parution06/06/1998
- ÉditeurPresses de la Cité
Résumé
Avec la verve et la sensibilité que lui connaissent ses lecteurs, Georges Coulonges nous entraîne à sa suite dans cette vie qui se lit comme un roman. Peut-être parce qu'elle en est un : jeunesse marquée par l'école, la forêt, le lac de Lacanau et l'Océan où arrivent les " congés payés " de 1936, rêve de l'école normale détruit par la guerre, travail de quatre années dans les bois, création d'un groupe de Résistance.
Voici la Libération.
Georges Coulonges exerce " tous les métiers des gens sans métier ". Il devient bruiteur à la radio de Bordeaux, puis animateur, comédien fêté sur toutes les scènes, toutes les estrades. 1957. Georges Coulonges monte à Paris. Il et auteur de chansons, de théâtre, de télévision, de romans... Dans ces milieux si différents dont il fait ici le tableau, il mène une existence fourmillante et à ses côtés nous rencontrons des interprètes, des amis aussi divers que Jean Ferrat, Jean-Louis Barrault, Siné, Patachou, Francis Lemarque, Silvia Monfort, Ray Ventura et bien d'autres plus connus, moins connus, mal connus dont Georges Coulonges, à l'aide d'anecdotes vécues, fait des portraits vivants et pittoresques, marqués du sceau de l'authenticité : comme l'auteur, comme l'homme Coulonges. Un auteur, un homme qui, se souvenant des morales écrites jadis au tableau noir de son école primaire, toutes expériences faites, persiste et signe : " Ma Communale avait raison.
"
Georges Coulonges exerce " tous les métiers des gens sans métier ". Il devient bruiteur à la radio de Bordeaux, puis animateur, comédien fêté sur toutes les scènes, toutes les estrades. 1957. Georges Coulonges monte à Paris. Il et auteur de chansons, de théâtre, de télévision, de romans... Dans ces milieux si différents dont il fait ici le tableau, il mène une existence fourmillante et à ses côtés nous rencontrons des interprètes, des amis aussi divers que Jean Ferrat, Jean-Louis Barrault, Siné, Patachou, Francis Lemarque, Silvia Monfort, Ray Ventura et bien d'autres plus connus, moins connus, mal connus dont Georges Coulonges, à l'aide d'anecdotes vécues, fait des portraits vivants et pittoresques, marqués du sceau de l'authenticité : comme l'auteur, comme l'homme Coulonges. Un auteur, un homme qui, se souvenant des morales écrites jadis au tableau noir de son école primaire, toutes expériences faites, persiste et signe : " Ma Communale avait raison.
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Avec la verve et la sensibilité que lui connaissent ses lecteurs, Georges Coulonges nous entraîne à sa suite dans cette vie qui se lit comme un roman. Peut-être parce qu'elle en est un : jeunesse marquée par l'école, la forêt, le lac de Lacanau et l'Océan où arrivent les " congés payés " de 1936, rêve de l'école normale détruit par la guerre, travail de quatre années dans les bois, création d'un groupe de Résistance.
Voici la Libération.
Georges Coulonges exerce " tous les métiers des gens sans métier ". Il devient bruiteur à la radio de Bordeaux, puis animateur, comédien fêté sur toutes les scènes, toutes les estrades. 1957. Georges Coulonges monte à Paris. Il et auteur de chansons, de théâtre, de télévision, de romans... Dans ces milieux si différents dont il fait ici le tableau, il mène une existence fourmillante et à ses côtés nous rencontrons des interprètes, des amis aussi divers que Jean Ferrat, Jean-Louis Barrault, Siné, Patachou, Francis Lemarque, Silvia Monfort, Ray Ventura et bien d'autres plus connus, moins connus, mal connus dont Georges Coulonges, à l'aide d'anecdotes vécues, fait des portraits vivants et pittoresques, marqués du sceau de l'authenticité : comme l'auteur, comme l'homme Coulonges. Un auteur, un homme qui, se souvenant des morales écrites jadis au tableau noir de son école primaire, toutes expériences faites, persiste et signe : " Ma Communale avait raison.
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Georges Coulonges exerce " tous les métiers des gens sans métier ". Il devient bruiteur à la radio de Bordeaux, puis animateur, comédien fêté sur toutes les scènes, toutes les estrades. 1957. Georges Coulonges monte à Paris. Il et auteur de chansons, de théâtre, de télévision, de romans... Dans ces milieux si différents dont il fait ici le tableau, il mène une existence fourmillante et à ses côtés nous rencontrons des interprètes, des amis aussi divers que Jean Ferrat, Jean-Louis Barrault, Siné, Patachou, Francis Lemarque, Silvia Monfort, Ray Ventura et bien d'autres plus connus, moins connus, mal connus dont Georges Coulonges, à l'aide d'anecdotes vécues, fait des portraits vivants et pittoresques, marqués du sceau de l'authenticité : comme l'auteur, comme l'homme Coulonges. Un auteur, un homme qui, se souvenant des morales écrites jadis au tableau noir de son école primaire, toutes expériences faites, persiste et signe : " Ma Communale avait raison.
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