Louise Erdrich : métissage et écriture, histoires d'Amérique
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- Nombre de pages277
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.5 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-86272-666-3
- EAN9782862726663
- Date de parution12/03/2015
- CollectionLes Scripturales
- ÉditeurPU Saint-Etienne
Résumé
Métisse d'origines allemande, française et ojibwée, rattachée au clan des Montagnes de la Tortue de la tribu des Ojibwés du Dakota du Nord, Louise Erdrich fait partie des romanciers amérindiens contemporains les plus renommés aux Etats-Unis et à l'étranger. Tout à la fois sujet central de son écriture et reflet de sa propre situation familiale, le métissage se signale comme la clé de voûte d'une oeuvre proposant une autre histoire de l'Amérique qui n'est jamais manichéenne mais privilégie la question du souvenir, de la transmission et du désir d'insertion dans la modernité.
La romancière s'attache à la mise en scène d'une Amérique métissée où l'ancrage territorial, la famille (synecdoque de la tribu), la transmission orale et le pouvoir féminin priment, mais surtout, où le repli identitaire et communautaire n'est jamais la solution proposée. L'humour, la tradition orale des conteurs et le mélange des genres attestent l'originalité de l'oeuvre et l'habile métissage littéraire et culturel qui la caractérise.
Replacée dans le contexte littéraire post-colonial et contrastée avec les autres textes de la littérature amérindienne passée et contemporaine, mais aussi éclairée par les multiples interviews de la romancière dans la presse écrite et audiovisuelle, cette écriture postmoderne s'appréhende dans une perspective littéraire nationale, voire universelle, au-delà de sa spécificité restrictive ethnique pour suggérer sa capacité à produire pour le lecteur «le plaisir du texte».
La romancière s'attache à la mise en scène d'une Amérique métissée où l'ancrage territorial, la famille (synecdoque de la tribu), la transmission orale et le pouvoir féminin priment, mais surtout, où le repli identitaire et communautaire n'est jamais la solution proposée. L'humour, la tradition orale des conteurs et le mélange des genres attestent l'originalité de l'oeuvre et l'habile métissage littéraire et culturel qui la caractérise.
Replacée dans le contexte littéraire post-colonial et contrastée avec les autres textes de la littérature amérindienne passée et contemporaine, mais aussi éclairée par les multiples interviews de la romancière dans la presse écrite et audiovisuelle, cette écriture postmoderne s'appréhende dans une perspective littéraire nationale, voire universelle, au-delà de sa spécificité restrictive ethnique pour suggérer sa capacité à produire pour le lecteur «le plaisir du texte».
Métisse d'origines allemande, française et ojibwée, rattachée au clan des Montagnes de la Tortue de la tribu des Ojibwés du Dakota du Nord, Louise Erdrich fait partie des romanciers amérindiens contemporains les plus renommés aux Etats-Unis et à l'étranger. Tout à la fois sujet central de son écriture et reflet de sa propre situation familiale, le métissage se signale comme la clé de voûte d'une oeuvre proposant une autre histoire de l'Amérique qui n'est jamais manichéenne mais privilégie la question du souvenir, de la transmission et du désir d'insertion dans la modernité.
La romancière s'attache à la mise en scène d'une Amérique métissée où l'ancrage territorial, la famille (synecdoque de la tribu), la transmission orale et le pouvoir féminin priment, mais surtout, où le repli identitaire et communautaire n'est jamais la solution proposée. L'humour, la tradition orale des conteurs et le mélange des genres attestent l'originalité de l'oeuvre et l'habile métissage littéraire et culturel qui la caractérise.
Replacée dans le contexte littéraire post-colonial et contrastée avec les autres textes de la littérature amérindienne passée et contemporaine, mais aussi éclairée par les multiples interviews de la romancière dans la presse écrite et audiovisuelle, cette écriture postmoderne s'appréhende dans une perspective littéraire nationale, voire universelle, au-delà de sa spécificité restrictive ethnique pour suggérer sa capacité à produire pour le lecteur «le plaisir du texte».
La romancière s'attache à la mise en scène d'une Amérique métissée où l'ancrage territorial, la famille (synecdoque de la tribu), la transmission orale et le pouvoir féminin priment, mais surtout, où le repli identitaire et communautaire n'est jamais la solution proposée. L'humour, la tradition orale des conteurs et le mélange des genres attestent l'originalité de l'oeuvre et l'habile métissage littéraire et culturel qui la caractérise.
Replacée dans le contexte littéraire post-colonial et contrastée avec les autres textes de la littérature amérindienne passée et contemporaine, mais aussi éclairée par les multiples interviews de la romancière dans la presse écrite et audiovisuelle, cette écriture postmoderne s'appréhende dans une perspective littéraire nationale, voire universelle, au-delà de sa spécificité restrictive ethnique pour suggérer sa capacité à produire pour le lecteur «le plaisir du texte».