Littérature et pathologie
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages288
- PrésentationBroché
- Poids0.416 kg
- Dimensions13,7 cm × 22,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-903981-61-2
- EAN9782903981617
- Date de parution01/01/1989
- CollectionL'imaginaire du texte
- ÉditeurPU Vincennes
Résumé
La maladie favorise-t-elle l'écriture ? On l'a cru, soutenu, démontré à certaines époques. Ce qu'il y a de sûr, c'est que l'imaginaire y trouve son compte, les corps bien portants n'ayant pas plus d'histoire que les peuples heureux. La maladie constitue un écran de projection sur lequel viennent s'inscrire les hantises individuelles et collectives engendrées par les mutations sociales et les crises de civilisation, un outil extraordinaire de création mythique dont la littérature moderne a usé avec prodigalité, un lieu d'échanges et de métaphores où les concepts et les images circulent entre la biologie, la morale, la politique, la sociologie, l'esthétique. On trouvera dans les contributions ici rassemblées les éléments de ce qui pourrait être, du point de vue de l'art, un « Traité du bon usage des maladies ».
La maladie favorise-t-elle l'écriture ? On l'a cru, soutenu, démontré à certaines époques. Ce qu'il y a de sûr, c'est que l'imaginaire y trouve son compte, les corps bien portants n'ayant pas plus d'histoire que les peuples heureux. La maladie constitue un écran de projection sur lequel viennent s'inscrire les hantises individuelles et collectives engendrées par les mutations sociales et les crises de civilisation, un outil extraordinaire de création mythique dont la littérature moderne a usé avec prodigalité, un lieu d'échanges et de métaphores où les concepts et les images circulent entre la biologie, la morale, la politique, la sociologie, l'esthétique. On trouvera dans les contributions ici rassemblées les éléments de ce qui pourrait être, du point de vue de l'art, un « Traité du bon usage des maladies ».