Littérature anglo-saxonne au féminin. renaissances et horizons, XVIIIe-XXe siècles

Par : Claire Bazin, Guyonne Leduc

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  • Nombre de pages170
  • PrésentationBroché
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-296-96392-4
  • EAN9782296963924
  • Date de parution01/06/2012
  • CollectionDes idées et des femmes
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierJean-Jacques Lecercle

Résumé

Les textes rassemblés ici contribuent à ce travail de redécouverte : auteures populaires du XVIIIe siècle méprisées par la critique, voyageuses de la période révolutionnaire, romancières victoriennes injustement oubliées, ces textes tracent en filigrane, ou en pointillé, une autre tradition, un autre canon potentiel de la littérature anglaise. Mais ils ne traitent pas tous d'auteures peu connues ou méprisées par la critique.
Certains passent de la redécouverte à ce qui est la troisième caractéristique des travaux de l'atelier : ce qu'on appelle en anglais revaluation. Cette restitution critique prend deux formes : le retour à nouveaux frais théoriques à des auteures déjà complètement, ou partiellement, canonisées, comme Katherine Mansfield et Djuna Barnes, pour remettre en question les critères d'une canonisation masculine ; et la célébration de traditions féminines qui s'inscrivent dans les interstices de la "grande tradition" masculine, en répétant le geste de Jean Rhys qui transforme Bertha Rochester en héroïne de roman - ici, c'est Mary Gulliver qui est l'objet de cette opération, et de son analyse.
Les textes rassemblés ici contribuent à ce travail de redécouverte : auteures populaires du XVIIIe siècle méprisées par la critique, voyageuses de la période révolutionnaire, romancières victoriennes injustement oubliées, ces textes tracent en filigrane, ou en pointillé, une autre tradition, un autre canon potentiel de la littérature anglaise. Mais ils ne traitent pas tous d'auteures peu connues ou méprisées par la critique.
Certains passent de la redécouverte à ce qui est la troisième caractéristique des travaux de l'atelier : ce qu'on appelle en anglais revaluation. Cette restitution critique prend deux formes : le retour à nouveaux frais théoriques à des auteures déjà complètement, ou partiellement, canonisées, comme Katherine Mansfield et Djuna Barnes, pour remettre en question les critères d'une canonisation masculine ; et la célébration de traditions féminines qui s'inscrivent dans les interstices de la "grande tradition" masculine, en répétant le geste de Jean Rhys qui transforme Bertha Rochester en héroïne de roman - ici, c'est Mary Gulliver qui est l'objet de cette opération, et de son analyse.