Liberte, Que De Crimes On Commet En Ton Nom ! Vie De Madame Roland, Guillotinee Le 8 Novembre 1793

Par : Marianne Cornevin

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  • Nombre de pages340
  • PrésentationBroché
  • Poids0.61 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-7068-1605-8
  • EAN9782706816055
  • Date de parution18/05/2002
  • ÉditeurMaisonneuve & Larose

Résumé

Redevenue d'une brûlante actualité, cette phrase fut prononcée, dit-on par Madame Roland juste avant qu'elle monte sur l'échafaud le 8 novembre 1793 en pleine Terreur. Qui était cette femme assez lucide pour dénoncer les excès commis au nom de la liberté ? Parmi les femmes célèbres de notre XVIIIe siècle, Madame Roland représente un cas tout à fait particulier par ses Mémoires, rédigés entièrement en prison alors qu'elle se savait déjà condamnée à mort, et par ses nombreuses lettres écrites depuis l'âge de treize ans jusqu'à la veille de sa mort à trente-neuf ans. Dans une langue brillante et savoureuse fourmillant de détails et de portraits remarquablement vivants, Madame Roland se raconte et dépeint en témoin enthousiaste et critique son époque. Fille d'un graveur parisien du Pont-Neuf, érudite, éprise des idéaux rousseauistes, Marie-Jeanne Phlipon épouse, à l'âge de vingt-cinq ans, Jean-Marie Roland, sieur de la Platière, de vingt ans son aÎné, inspecteur des manufactures. Pendant dix années, elle réside successivement à Amiens, Villefranche-en-Beaujolais, enfin à Lyon, où les époux Roland jouent un rôle politique actif dans la Révolution. Revenant à Paris, le citoyen Roland devient ministre de l'Intérieur en 1792. En complétant les écrits de Madame Roland par des documents contemporains, Marianne Cornevin nous fait redécouvrir le vrai visage d'une femme d'exception, emportée par la tourmente qu'elle-même et ses amis girondins avaient contribué à déchaîner.
Redevenue d'une brûlante actualité, cette phrase fut prononcée, dit-on par Madame Roland juste avant qu'elle monte sur l'échafaud le 8 novembre 1793 en pleine Terreur. Qui était cette femme assez lucide pour dénoncer les excès commis au nom de la liberté ? Parmi les femmes célèbres de notre XVIIIe siècle, Madame Roland représente un cas tout à fait particulier par ses Mémoires, rédigés entièrement en prison alors qu'elle se savait déjà condamnée à mort, et par ses nombreuses lettres écrites depuis l'âge de treize ans jusqu'à la veille de sa mort à trente-neuf ans. Dans une langue brillante et savoureuse fourmillant de détails et de portraits remarquablement vivants, Madame Roland se raconte et dépeint en témoin enthousiaste et critique son époque. Fille d'un graveur parisien du Pont-Neuf, érudite, éprise des idéaux rousseauistes, Marie-Jeanne Phlipon épouse, à l'âge de vingt-cinq ans, Jean-Marie Roland, sieur de la Platière, de vingt ans son aÎné, inspecteur des manufactures. Pendant dix années, elle réside successivement à Amiens, Villefranche-en-Beaujolais, enfin à Lyon, où les époux Roland jouent un rôle politique actif dans la Révolution. Revenant à Paris, le citoyen Roland devient ministre de l'Intérieur en 1792. En complétant les écrits de Madame Roland par des documents contemporains, Marianne Cornevin nous fait redécouvrir le vrai visage d'une femme d'exception, emportée par la tourmente qu'elle-même et ses amis girondins avaient contribué à déchaîner.
L'Afrique du Sud en sursis
Marianne Cornevin
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