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  • Nombre de pages373
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.57 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,5 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-7499-1122-9
  • EAN9782749911229
  • Date de parution14/01/2010
  • ÉditeurMichel Lafon
  • TraducteurPascal Loubet

Résumé

Les policiers du monde entier répartissent les criminels sur une échelle de 1 à 25, selon leur dangerosité. Un tueur échappe à cette classification. Cruel à l'extrême, insaisissable, sévissant sur tous les continents, il ne connaît aucune limite ni aucun mode opératoire de prédilection : c'est le niveau 26. Un seul homme peut l'arrêter. Il s'appelle Steve Dark, et depuis que ce monstre a massacré sa famille, il s'est juré de cesser de traquer les psychopathes. Mais bientôt, il n'aura plus le choix.
Les policiers du monde entier répartissent les criminels sur une échelle de 1 à 25, selon leur dangerosité. Un tueur échappe à cette classification. Cruel à l'extrême, insaisissable, sévissant sur tous les continents, il ne connaît aucune limite ni aucun mode opératoire de prédilection : c'est le niveau 26. Un seul homme peut l'arrêter. Il s'appelle Steve Dark, et depuis que ce monstre a massacré sa famille, il s'est juré de cesser de traquer les psychopathes. Mais bientôt, il n'aura plus le choix.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.4/5
sur 19 notes dont 5 avis lecteurs
Affligeant
Je m'attendais à tout sauf à ça : un serial killer qui se tartine de beurre et qui se prend pour une ballerine. A force de vouloir faire de la surenchère, le roman en est pathétique, et surtout il ne fait pas peur une seule minute. Bref, une déception.
Je m'attendais à tout sauf à ça : un serial killer qui se tartine de beurre et qui se prend pour une ballerine. A force de vouloir faire de la surenchère, le roman en est pathétique, et surtout il ne fait pas peur une seule minute. Bref, une déception.
  • Crispant
1/5
Affligeant
Ceci n'est pas de la littérature, passez votre chemin. La série Level n'aidera pas à promouvoir le livre enrichi ! Une écriture d'une pauvreté rare...
Ceci n'est pas de la littérature, passez votre chemin. La série Level n'aidera pas à promouvoir le livre enrichi ! Une écriture d'une pauvreté rare...
  • Irritant
  • XXIe siècle
Lorsqu'une "franchise" américain se veut littéraire
L’auteur étant le créateur, scénariste et producteur de la série « Les Experts », il ne faut pas trop en espérer d’un point de vue qualitatif littéraire. Je suis peut-être de mauvaise foi, mais j’ai tendance à penser que la « franchise » est déclinée au possible. Nous y retrouvons le super agent spécial à l’instinct décuplé qui va mener son enquête quasi seul face à un tueur à la psychologie des plus douteuses. Certes sur le papier, quand on aime les Policiers/Thrillers, ce n’est clairement pas original, mais pourquoi pas… Le gros point positif, selon moi, est que Zuiker a mis de coté l’aspect police scientifique, qui ne me passionne guère et est parfois d’une lourdeur extrême dans la lecture. En substance, nous avons donc Dark, le super agent spécial, retiré des affaires qui va reprendre du service pour retrouver LE tueur psychopathe que lui seul forcément est à même de neutraliser. Modèle hautement américain où l’on s’assoie sur les procédures et cela ne pose pas trop de problèmes mis à par le chef qui râle un peu pour la forme. Peut-être est-ce culturel, mais ces méthodes me semblent si exagérées que j’ai pensé voir Bruce Willis débarquer et sauver le monde. Concrètement, qu’en ai-je pensé ? Eh bien je dois dire que mon avis partagé, je n’adhère pas totalement et pourtant j’ai lu le livre quasi d’une traite, c’est une lecture assez fluide, on se prend à l’histoire, ou plutôt on se perd avec Dark dans cette traque à l’assassin-fou. Ce n’est certainement pas l’histoire la plus originale qui soit, ce n’est certainement pas la plus grande plume qui soit non plus, mais pourtant, le tout fonctionne et on en redemande. Cela tombe plutôt bien puisqu’il s’agit d’une trilogie. Je vais passer rapidement sur le concept de « Level 26 » et de l’interactivité qui l’accompagne : environ toutes les trente pages une adresse web sur laquelle vous pouvez obtenir des indices ou des vidéos. Pour ma part, ce genre de choses ne m’intéresse pas le moins du monde. Cela tue l’imaginaire en imposant un visuel au lecteur. Mais ça n’engage que moi… D’autant que cela ne me semble pas indispensable à la compréhension de la lecture, simplement un gadget de plus ! En résumé, je le conseille à tous, sauf les bornés de la « GRANDE Littérature », car même si l’on critique, qui n’a pas été scotché malgré lui devant un épisode des Experts ?
L’auteur étant le créateur, scénariste et producteur de la série « Les Experts », il ne faut pas trop en espérer d’un point de vue qualitatif littéraire. Je suis peut-être de mauvaise foi, mais j’ai tendance à penser que la « franchise » est déclinée au possible. Nous y retrouvons le super agent spécial à l’instinct décuplé qui va mener son enquête quasi seul face à un tueur à la psychologie des plus douteuses. Certes sur le papier, quand on aime les Policiers/Thrillers, ce n’est clairement pas original, mais pourquoi pas… Le gros point positif, selon moi, est que Zuiker a mis de coté l’aspect police scientifique, qui ne me passionne guère et est parfois d’une lourdeur extrême dans la lecture. En substance, nous avons donc Dark, le super agent spécial, retiré des affaires qui va reprendre du service pour retrouver LE tueur psychopathe que lui seul forcément est à même de neutraliser. Modèle hautement américain où l’on s’assoie sur les procédures et cela ne pose pas trop de problèmes mis à par le chef qui râle un peu pour la forme. Peut-être est-ce culturel, mais ces méthodes me semblent si exagérées que j’ai pensé voir Bruce Willis débarquer et sauver le monde. Concrètement, qu’en ai-je pensé ? Eh bien je dois dire que mon avis partagé, je n’adhère pas totalement et pourtant j’ai lu le livre quasi d’une traite, c’est une lecture assez fluide, on se prend à l’histoire, ou plutôt on se perd avec Dark dans cette traque à l’assassin-fou. Ce n’est certainement pas l’histoire la plus originale qui soit, ce n’est certainement pas la plus grande plume qui soit non plus, mais pourtant, le tout fonctionne et on en redemande. Cela tombe plutôt bien puisqu’il s’agit d’une trilogie. Je vais passer rapidement sur le concept de « Level 26 » et de l’interactivité qui l’accompagne : environ toutes les trente pages une adresse web sur laquelle vous pouvez obtenir des indices ou des vidéos. Pour ma part, ce genre de choses ne m’intéresse pas le moins du monde. Cela tue l’imaginaire en imposant un visuel au lecteur. Mais ça n’engage que moi… D’autant que cela ne me semble pas indispensable à la compréhension de la lecture, simplement un gadget de plus ! En résumé, je le conseille à tous, sauf les bornés de la « GRANDE Littérature », car même si l’on critique, qui n’a pas été scotché malgré lui devant un épisode des Experts ?
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