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Lettres sur la sympathie
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- Nombre de pages157
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.1 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7436-3597-8
- EAN9782743635978
- Date de parution23/03/2016
- CollectionRivages Poche. Petite Bibliot
- ÉditeurRivages
- PréfacierJean-Claude Bonnet
Résumé
Après avoir épousé le marquis de Condorcet en 1786, Sophie de Grouchy (1764-1822) réunit une société brillante dans son salon qui se transforma en cercle politique à partir de 1789. C’est dans les plus douloureuses épreuves, au moment de l’arrestation de son mari en juillet 1793, qu’elle écrivit ses Lettres sur la sympathie. Elle ne les publia qu’en 1798 à la suite de sa traduction de la Théorie des sentiments moraux d’Adam Smith.
Au coeur des haines sociales et politiques, Sophie de Condorcet nous donne son diagnostic sur la Terreur tout en dissertant sur la compassion et sur l’amour comme si de rien n’était. Cela plaira à Mme de Staël et à Stendhal.
Au coeur des haines sociales et politiques, Sophie de Condorcet nous donne son diagnostic sur la Terreur tout en dissertant sur la compassion et sur l’amour comme si de rien n’était. Cela plaira à Mme de Staël et à Stendhal.
Après avoir épousé le marquis de Condorcet en 1786, Sophie de Grouchy (1764-1822) réunit une société brillante dans son salon qui se transforma en cercle politique à partir de 1789. C’est dans les plus douloureuses épreuves, au moment de l’arrestation de son mari en juillet 1793, qu’elle écrivit ses Lettres sur la sympathie. Elle ne les publia qu’en 1798 à la suite de sa traduction de la Théorie des sentiments moraux d’Adam Smith.
Au coeur des haines sociales et politiques, Sophie de Condorcet nous donne son diagnostic sur la Terreur tout en dissertant sur la compassion et sur l’amour comme si de rien n’était. Cela plaira à Mme de Staël et à Stendhal.
Au coeur des haines sociales et politiques, Sophie de Condorcet nous donne son diagnostic sur la Terreur tout en dissertant sur la compassion et sur l’amour comme si de rien n’était. Cela plaira à Mme de Staël et à Stendhal.
A propos de Sophie de Grouchy