Lettres à mes amants. Extraites de Nouveau recueil de Lettres des Dames tant anciennes que modernes
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- Nombre de pages117
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.13 kg
- Dimensions11,5 cm × 17,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-86227-493-3
- EAN9782862274935
- Date de parution05/10/2006
- ÉditeurAlternatives (Editions)
- TraducteurFrançois de Grenaille
Résumé
A l'amant qui la délaisse, Isabella Andreini, célèbre comédienne et femme de lettres italiennes du XVIe siècle, adresse cette missive : " J'ai brûlé tant que vous avez brûlé pour moi, et je vous ai gardé la foi autant de temps que vous m'avez été fidèle, en un mot j'ai été à vous tant que vous avez été à moi. " Le ton - très personnel - est donné. Si le genre épistolaire est, à l'époque, un exercice de style convenu, il atteint ici à une réelle originalité.
Isabella Andreini se joue de celui qui la maltraite, à égalité d'attitude, comme elle s'adresse également à tous ses autres interlocuteurs fictifs - vieillard amoureux, homme affligé, amant présomptueux, farouche ou passionné...- dans un mélange de reproches, conseils, tendresses exprimés sur un ton allègre et décalé qui fait toute la saveur de ces textes. Inédites en France depuis leur traduction par François de Grenaille au XVIIe siècle, ces lettres aux indéniables qualités littéraires et aux accents féministes avant l'heure, méritaient de sortir de l'oubli et de retrouver un public.
Isabella Andreini se joue de celui qui la maltraite, à égalité d'attitude, comme elle s'adresse également à tous ses autres interlocuteurs fictifs - vieillard amoureux, homme affligé, amant présomptueux, farouche ou passionné...- dans un mélange de reproches, conseils, tendresses exprimés sur un ton allègre et décalé qui fait toute la saveur de ces textes. Inédites en France depuis leur traduction par François de Grenaille au XVIIe siècle, ces lettres aux indéniables qualités littéraires et aux accents féministes avant l'heure, méritaient de sortir de l'oubli et de retrouver un public.
A l'amant qui la délaisse, Isabella Andreini, célèbre comédienne et femme de lettres italiennes du XVIe siècle, adresse cette missive : " J'ai brûlé tant que vous avez brûlé pour moi, et je vous ai gardé la foi autant de temps que vous m'avez été fidèle, en un mot j'ai été à vous tant que vous avez été à moi. " Le ton - très personnel - est donné. Si le genre épistolaire est, à l'époque, un exercice de style convenu, il atteint ici à une réelle originalité.
Isabella Andreini se joue de celui qui la maltraite, à égalité d'attitude, comme elle s'adresse également à tous ses autres interlocuteurs fictifs - vieillard amoureux, homme affligé, amant présomptueux, farouche ou passionné...- dans un mélange de reproches, conseils, tendresses exprimés sur un ton allègre et décalé qui fait toute la saveur de ces textes. Inédites en France depuis leur traduction par François de Grenaille au XVIIe siècle, ces lettres aux indéniables qualités littéraires et aux accents féministes avant l'heure, méritaient de sortir de l'oubli et de retrouver un public.
Isabella Andreini se joue de celui qui la maltraite, à égalité d'attitude, comme elle s'adresse également à tous ses autres interlocuteurs fictifs - vieillard amoureux, homme affligé, amant présomptueux, farouche ou passionné...- dans un mélange de reproches, conseils, tendresses exprimés sur un ton allègre et décalé qui fait toute la saveur de ces textes. Inédites en France depuis leur traduction par François de Grenaille au XVIIe siècle, ces lettres aux indéniables qualités littéraires et aux accents féministes avant l'heure, méritaient de sortir de l'oubli et de retrouver un public.