Les Tribunaux Populaires de la Révolution et les droits de l'Homme

Par : Blanchard Emmanuel Bayala
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  • Nombre de pages156
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.205 kg
  • Dimensions13,7 cm × 21,4 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-343-13039-2
  • EAN9782343130392
  • Date de parution01/01/2018
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Cet ouvrage traite des Tribunaux Populaires de la Révolution (TPR), tribunaux d'exception mis en place par le Conseil National de la Révolution (CNR) lors de la Révolution populaire et démocratique survenue en Haute-Volta le 4 août 1983. L'ordonnance portant création des TPR, prise quelques semaines seulement après l'accession au pouvoir du CNR, demeure l'une des décisions les plus importantes du régime révolutionnaire mené tambour battant sous la houlette du Capitaine Thomas Sankara.
Il s'agissait alors de sanctionner la mal-gouvernance tout en faisant la lumière sur la gestion des biens de l'Etat par les régimes précédents. Reprenant ici, tel qu'il avait été rédigé à l'époque, le texte de son mémoire de maîtrise de droit soutenu en juin 1984, l'auteur s'engage dans une analyse rigoureuse et objective de cette juridiction d'exception qui marque de son empreinte l'histoire de ce pays, devenu plus tard le Burkina Faso.
Ecrit au plus fort de la révolution, ce texte, dont l'auteur ne s'embarrasse pas de langue de bois, est l'oeuvre d'un juriste et financier qui a occupé des postes importants dans la haute fonction publique de son pays.
Cet ouvrage traite des Tribunaux Populaires de la Révolution (TPR), tribunaux d'exception mis en place par le Conseil National de la Révolution (CNR) lors de la Révolution populaire et démocratique survenue en Haute-Volta le 4 août 1983. L'ordonnance portant création des TPR, prise quelques semaines seulement après l'accession au pouvoir du CNR, demeure l'une des décisions les plus importantes du régime révolutionnaire mené tambour battant sous la houlette du Capitaine Thomas Sankara.
Il s'agissait alors de sanctionner la mal-gouvernance tout en faisant la lumière sur la gestion des biens de l'Etat par les régimes précédents. Reprenant ici, tel qu'il avait été rédigé à l'époque, le texte de son mémoire de maîtrise de droit soutenu en juin 1984, l'auteur s'engage dans une analyse rigoureuse et objective de cette juridiction d'exception qui marque de son empreinte l'histoire de ce pays, devenu plus tard le Burkina Faso.
Ecrit au plus fort de la révolution, ce texte, dont l'auteur ne s'embarrasse pas de langue de bois, est l'oeuvre d'un juriste et financier qui a occupé des postes importants dans la haute fonction publique de son pays.