Les Séductrices
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- Nombre de pages184
- PrésentationRelié
- Poids0.825 kg
- Dimensions17,0 cm × 25,5 cm × 1,8 cm
- ISBN2-02-063017-6
- EAN9782020630177
- Date de parution15/10/2004
- ÉditeurSeuil
- TraducteurPierre Saint-Jean
Résumé
D'Eve à Madonna, en passant par Mata Hari, il y a toujours eu des séductrices dans l'esprit des hommes. Qu'elles soient attirantes ou menaçantes, dangereuses ou délicieuses, passives ou prédatrices, les hommes qu'elles rencontrent ne sont que glaise entre leurs doigts. Enfin, telle est l'image que véhiculent les mythes Lorsque les hommes se sentent menacés dans leurs prérogatives par des exigences féminines de plus en plus pressantes, les séductrices sont décrites comme des créatures cruelles. En revanche, lorsque la guerre des sexes marque une pause, elles deviennent synonymes de plaisir et de volupté. Lorsque les femmes ont gagné en indépendance, elles ont créé elles-mêmes leur image et proposé leur propre interprétation du désir masculin. Lorsque des droits leur ont été reconnus, la séductrice est devenue un fantasme, et a pris une apparence dont les charmes varient à l'infini. Dans cette exploration de la figure de la tentatrice, Jane Billinghurst observe ses différentes occurrences dans la mythologie, dans l'histoire, au cinéma, des premières pécheresses (Lilith et Eve) aux dominatrices incarnées par Mae West et Madonna. Entre ces deux extrêmes, nous sommes séduits par la charmante menace des figures mythiques (Pandore, les Sirènes ou Méduse), par les femmes d'influence (Cléopâtre), les vamps (Theda Bara et Marlene Dietrich), les bombes sexuelles (Jean Harlow) et un certain nombre d'autres créatures ensorcelantes.
D'Eve à Madonna, en passant par Mata Hari, il y a toujours eu des séductrices dans l'esprit des hommes. Qu'elles soient attirantes ou menaçantes, dangereuses ou délicieuses, passives ou prédatrices, les hommes qu'elles rencontrent ne sont que glaise entre leurs doigts. Enfin, telle est l'image que véhiculent les mythes Lorsque les hommes se sentent menacés dans leurs prérogatives par des exigences féminines de plus en plus pressantes, les séductrices sont décrites comme des créatures cruelles. En revanche, lorsque la guerre des sexes marque une pause, elles deviennent synonymes de plaisir et de volupté. Lorsque les femmes ont gagné en indépendance, elles ont créé elles-mêmes leur image et proposé leur propre interprétation du désir masculin. Lorsque des droits leur ont été reconnus, la séductrice est devenue un fantasme, et a pris une apparence dont les charmes varient à l'infini. Dans cette exploration de la figure de la tentatrice, Jane Billinghurst observe ses différentes occurrences dans la mythologie, dans l'histoire, au cinéma, des premières pécheresses (Lilith et Eve) aux dominatrices incarnées par Mae West et Madonna. Entre ces deux extrêmes, nous sommes séduits par la charmante menace des figures mythiques (Pandore, les Sirènes ou Méduse), par les femmes d'influence (Cléopâtre), les vamps (Theda Bara et Marlene Dietrich), les bombes sexuelles (Jean Harlow) et un certain nombre d'autres créatures ensorcelantes.