Les ruines. Entre destruction et construction dans l'Antiquité à nos jours

Par : Karolina Kaderka
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  • Nombre de pages232
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.6 kg
  • Dimensions16,7 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-88-98229-12-3
  • EAN9788898229123
  • Date de parution01/12/2013
  • CollectionHautes études : Histoire art
  • ÉditeurCampisano editore
  • PréfacierFrançois Queyrel

Résumé

Aucune époque n'échappe aux ruines et toutes les ruines ont une histoire. Elles sont vouées à perdurer ou disparaître, fasciner ou déranger. L'intérêt pour les ruines s'explique de façon naturelle par leur omniprésence et ne date pas d'aujourd'hui : différentes époques et cultures témoignent de leur façon propre de les appréhender. Si le goût des ruines antiques émerge en Europe avec la Renaissance et suscite un véritable culte au siècle des Lumières, toutes les époques de l'histoire sont amenées à affronter des ruines de genres divers, parfois conceptualisées mentalement.
Au cours du siècle dernier, dans un contexte où surgissent de nouvelles formes de destructions, massives et violentes, se font jour une nouvelle sensibilité aux ruines et un désir d'étudier, de manière plus complexe, leur impact et leur signification pour les sociétés : celles auxquelles elles appartenaient à l'origine, comme celles auxquelles elles seront confrontées par la suite. S'inscrivant dans la continuité des recherches actuelles sur le sujet, ce volume interdisciplinaire souhaite présenter et discuter l'existence et la perception de ruines en Europe, dans des contextes culturels et historiques variés, qu'elles soient considérées in situ, représentées ou ressenties, qu'elles soient décrites ou abordées par d'autres moyens que les mots.
Des archéologues, historiens, historiens de l'art et de l'architecture, esthéticiens, spécialistes des langues, de la littérature et des nouvelles technologies de conservation des traces du passé, croisent leurs regards dans des études qui portent sur les constructions détruites, tout comme sur les destructions construites, en montrant diverses façons de les concevoir depuis l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui.
Aucune époque n'échappe aux ruines et toutes les ruines ont une histoire. Elles sont vouées à perdurer ou disparaître, fasciner ou déranger. L'intérêt pour les ruines s'explique de façon naturelle par leur omniprésence et ne date pas d'aujourd'hui : différentes époques et cultures témoignent de leur façon propre de les appréhender. Si le goût des ruines antiques émerge en Europe avec la Renaissance et suscite un véritable culte au siècle des Lumières, toutes les époques de l'histoire sont amenées à affronter des ruines de genres divers, parfois conceptualisées mentalement.
Au cours du siècle dernier, dans un contexte où surgissent de nouvelles formes de destructions, massives et violentes, se font jour une nouvelle sensibilité aux ruines et un désir d'étudier, de manière plus complexe, leur impact et leur signification pour les sociétés : celles auxquelles elles appartenaient à l'origine, comme celles auxquelles elles seront confrontées par la suite. S'inscrivant dans la continuité des recherches actuelles sur le sujet, ce volume interdisciplinaire souhaite présenter et discuter l'existence et la perception de ruines en Europe, dans des contextes culturels et historiques variés, qu'elles soient considérées in situ, représentées ou ressenties, qu'elles soient décrites ou abordées par d'autres moyens que les mots.
Des archéologues, historiens, historiens de l'art et de l'architecture, esthéticiens, spécialistes des langues, de la littérature et des nouvelles technologies de conservation des traces du passé, croisent leurs regards dans des études qui portent sur les constructions détruites, tout comme sur les destructions construites, en montrant diverses façons de les concevoir depuis l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui.