Les Roses de l'Impératrice. La rosomanie au temps de Joséphine - Occasion

Par : François Joyaux
    • Nombre de pages189
    • PrésentationBroché
    • Poids0.46 kg
    • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
    • ISBN2-8048-0041-5
    • EAN9782804800413
    • Date de parution01/01/2005
    • ÉditeurComplexe (Editions)

    Résumé

    L'Impératrice Joséphine possédait à Malmaison la collection de roses la plus importante de France et même d'Europe : elle comptait plusieurs centaines de variétés. Le beau livre de Redouté intitulé Les Roses, publié de 1817 à 1824, les a rendues célèbres. En fait, la mode des roses avait commencé dès le milieu du XVIIIe siècle, non seulement dans les parcs et jardins, mais aussi dans les arts décoratifs. La Révolution passée, cela devint un véritable engouement ; c'est à cette époque qu'apparut le mot " rosomanie ". Les " rosomanes " furent de plus en plus nombreux, les pépiniéristes créèrent des centaines de roses, les collections se multiplièrent. Et, à nouveau, la " reine des fleurs " envahit les arts décoratifs ainsi que la littérature. Ce livre retrace non seulement ce que l'on sait de la collection de l'Impératrice d'après les archives, mais restitue aussi ce que fut cette " rosomanie " sous le Premier Empire.
    L'Impératrice Joséphine possédait à Malmaison la collection de roses la plus importante de France et même d'Europe : elle comptait plusieurs centaines de variétés. Le beau livre de Redouté intitulé Les Roses, publié de 1817 à 1824, les a rendues célèbres. En fait, la mode des roses avait commencé dès le milieu du XVIIIe siècle, non seulement dans les parcs et jardins, mais aussi dans les arts décoratifs. La Révolution passée, cela devint un véritable engouement ; c'est à cette époque qu'apparut le mot " rosomanie ". Les " rosomanes " furent de plus en plus nombreux, les pépiniéristes créèrent des centaines de roses, les collections se multiplièrent. Et, à nouveau, la " reine des fleurs " envahit les arts décoratifs ainsi que la littérature. Ce livre retrace non seulement ce que l'on sait de la collection de l'Impératrice d'après les archives, mais restitue aussi ce que fut cette " rosomanie " sous le Premier Empire.