Les républicains espagnols dans le camp de concentration nazi de Mauthausen. Le devoir collectif de survivre

Par : Véronique Olivares, Pierre Salou

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  • Nombre de pages474
  • PrésentationBroché
  • Poids0.775 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-915293-59-3
  • EAN9782915293593
  • Date de parution09/11/2015
  • CollectionCes oubliés de l'histoire
  • ÉditeurTirésias
  • PréfacierMichel Reynaud

Résumé

Nous trouvons en ces pages pour notre mémoire et la vérité l'ampleur du drame vécu par ces républicains espagnols. Cet appel à se souvenir est pour eux une façon de rester vigilant et d'éviter que la bête immonde au ventre fécond ne se relève. « Le devoir collectif de survivre, m'a enivré, saoulé par sa grandeur, sa douleur et m'a blessé par l'oubli qui lui était insupportablement réservé. Ce texte m'a immédiatement interpellé.
J'ai senti intuitivement, ou de cette perception érodée par les années de labeur sinon acérée par ma quête sur les « oubliés » de l'histoire, sa force de sens. » Ce livre est le « non » à l'aliénation, un veilleur vigilant sur l'avenir, un acte de solidarité. Je reprends à mon compte ces mots de Cervantés « Tu ferais mieux de l'appeler enfer, et encore pis s'il y a chose qui soit pire au monde. » Et je vous les offre comme déjà ce chant qui sera à toujours la tache innommable de notre vingtième siècle mais aussi notre honneur de part l'humanité et le refus d'une quelconque aliénation de ces républicains espagnols
Nous trouvons en ces pages pour notre mémoire et la vérité l'ampleur du drame vécu par ces républicains espagnols. Cet appel à se souvenir est pour eux une façon de rester vigilant et d'éviter que la bête immonde au ventre fécond ne se relève. « Le devoir collectif de survivre, m'a enivré, saoulé par sa grandeur, sa douleur et m'a blessé par l'oubli qui lui était insupportablement réservé. Ce texte m'a immédiatement interpellé.
J'ai senti intuitivement, ou de cette perception érodée par les années de labeur sinon acérée par ma quête sur les « oubliés » de l'histoire, sa force de sens. » Ce livre est le « non » à l'aliénation, un veilleur vigilant sur l'avenir, un acte de solidarité. Je reprends à mon compte ces mots de Cervantés « Tu ferais mieux de l'appeler enfer, et encore pis s'il y a chose qui soit pire au monde. » Et je vous les offre comme déjà ce chant qui sera à toujours la tache innommable de notre vingtième siècle mais aussi notre honneur de part l'humanité et le refus d'une quelconque aliénation de ces républicains espagnols