Les rébellions canadiennes de 1837 et 1838 vues de Paris
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- Nombre de pages211
- PrésentationBroché
- Poids0.304 kg
- Dimensions15,2 cm × 23,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-7637-9488-4
- EAN9782763794884
- Date de parution09/02/2012
- CollectionCultures québécoises
- ÉditeurPresses Université Laval
Résumé
Cet ouvrage s'intéresse aux répercussions des rébellions canadiennes de 1837 et 1838 dans la presse française. Que savent les Français de la situation des Canadiens dans cette première moitié du XIXe siècle ? Se reconnaissent-ils dans les revendications politiques et identitaires de leurs anciens colons ? Développent-ils un attachement particulier pour les combattants de la liberté au Canada ou, au contraire, s'en détournent-ils en les renvoyant à leur statut de sujets britanniques ? Les auteurs examinent ici les journaux français les plus populaires, dans les années 1830, pour comprendre l'intérêt ou le désintérêt que les journalistes français, selon leur idéologie politique, vont développer dans leur interprétation de la crise canadienne.
Dans un deuxième temps, cet ouvrage montre que, si les rébellions ont ressuscité l'attention de la France pour son ancienne colonie pendant un laps de temps relativement court, entre les tensions relatées par la presse britannique à l'automne 1837 et la publication du rapport Durham en janvier 1839, l'insurrection canadienne, souvent oubliée dans les manuels d'histoire britannique, et plus rarement mentionnée dans les ouvrages d'histoire de France, a sa place dans les répercussions qu'elle a pu avoir sur l'histoire des nationalismes européens, grâce au relais de la presse radicale française.
Dans un deuxième temps, cet ouvrage montre que, si les rébellions ont ressuscité l'attention de la France pour son ancienne colonie pendant un laps de temps relativement court, entre les tensions relatées par la presse britannique à l'automne 1837 et la publication du rapport Durham en janvier 1839, l'insurrection canadienne, souvent oubliée dans les manuels d'histoire britannique, et plus rarement mentionnée dans les ouvrages d'histoire de France, a sa place dans les répercussions qu'elle a pu avoir sur l'histoire des nationalismes européens, grâce au relais de la presse radicale française.
Cet ouvrage s'intéresse aux répercussions des rébellions canadiennes de 1837 et 1838 dans la presse française. Que savent les Français de la situation des Canadiens dans cette première moitié du XIXe siècle ? Se reconnaissent-ils dans les revendications politiques et identitaires de leurs anciens colons ? Développent-ils un attachement particulier pour les combattants de la liberté au Canada ou, au contraire, s'en détournent-ils en les renvoyant à leur statut de sujets britanniques ? Les auteurs examinent ici les journaux français les plus populaires, dans les années 1830, pour comprendre l'intérêt ou le désintérêt que les journalistes français, selon leur idéologie politique, vont développer dans leur interprétation de la crise canadienne.
Dans un deuxième temps, cet ouvrage montre que, si les rébellions ont ressuscité l'attention de la France pour son ancienne colonie pendant un laps de temps relativement court, entre les tensions relatées par la presse britannique à l'automne 1837 et la publication du rapport Durham en janvier 1839, l'insurrection canadienne, souvent oubliée dans les manuels d'histoire britannique, et plus rarement mentionnée dans les ouvrages d'histoire de France, a sa place dans les répercussions qu'elle a pu avoir sur l'histoire des nationalismes européens, grâce au relais de la presse radicale française.
Dans un deuxième temps, cet ouvrage montre que, si les rébellions ont ressuscité l'attention de la France pour son ancienne colonie pendant un laps de temps relativement court, entre les tensions relatées par la presse britannique à l'automne 1837 et la publication du rapport Durham en janvier 1839, l'insurrection canadienne, souvent oubliée dans les manuels d'histoire britannique, et plus rarement mentionnée dans les ouvrages d'histoire de France, a sa place dans les répercussions qu'elle a pu avoir sur l'histoire des nationalismes européens, grâce au relais de la presse radicale française.