Les arabes étaient des maitres du mot, avec du rythme surtout, la poésie, leur art favori de tous les temps, un art noble exigeant un thème noble. Si les grands poètes arabes, dans le grand désert n'offrant que les grands espaces vides, le large ciel bleu, leurs chameaux et chevaux de compagnie pour toujours, les disputes guerrières de braves au tempérament chaud, Tu es la pleine lune brillante, Tu es le soleil du matin ! Etre toujours avec toi Est mon bonheur, Mais mon âme, Préfère dans ton amour, Le calvaire ! Bien-aimée ! Ai-je une place Dans ton coeur ? Comme celle, Que tu as dans le mien ? Comme je t'aime ! Comme je t'aime tellement ! Que je m'étonne de moi-même ! "
Les arabes étaient des maitres du mot, avec du rythme surtout, la poésie, leur art favori de tous les temps, un art noble exigeant un thème noble. Si les grands poètes arabes, dans le grand désert n'offrant que les grands espaces vides, le large ciel bleu, leurs chameaux et chevaux de compagnie pour toujours, les disputes guerrières de braves au tempérament chaud, Tu es la pleine lune brillante, Tu es le soleil du matin ! Etre toujours avec toi Est mon bonheur, Mais mon âme, Préfère dans ton amour, Le calvaire ! Bien-aimée ! Ai-je une place Dans ton coeur ? Comme celle, Que tu as dans le mien ? Comme je t'aime ! Comme je t'aime tellement ! Que je m'étonne de moi-même ! "