Philippe Besson, né le 29 janvier 1967 en Charente, est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages de fiction et de trois pièces de théâtre. Après des études de commerce et de droit, il s'installe à Paris en 1989 et commence une carrière de juriste d'entreprise. En 1999 il se lance dans l'écriture. Son premier livre : "En l'absence des hommes" paraît en 2001 chez Julliard et reçoit le prix Emmanuel-Roblès. La même année est publié "Son frère" qui sera adapté au cinéma en 2003 par Patrice Chéreau. Les succès s'enchaînent : "Arrière Saison" (2002) reçoit le Grand Prix RTL-Lire en 2003, année de parution de "Un garçon d'Italie" sélectionné pour le Prix Goncourt et le Médicis. Tout ceci le conforte dans sa décision de se consacrer exclusivement à l'écriture. Il écrit des romans, pratiquement un par an, avec pour thème récurent la mort ou l'absence d'un être aimé, comme dans "L'enfant d'Octobre" (2006), "Retour parmi les Hommes" (2011) ou "Une bonne raison de se tuer" (2012), mais aussi des scénarii pour la télévision. Il intervient d'ailleurs régulièrement dans les médias, animateur sur Paris Première de l'émission Paris Dernière, et critique littéraire sur Europe 1.
Prix Maison de la presse
Coup de coeur
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- Nombre de pages168
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.086 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-266-32324-6
- EAN9782266323246
- Date de parution17/11/2022
- CollectionPocket
- ÉditeurPocket
Résumé
Hélène a vu en direct à la télévision les images d'un tremblement de terre dévastateur dans une ville lointaine ; son mari séjournait là-bas, à ce moment précis. Mathieu, quant à lui, a trouvé un jour dans un appartement vide une lettre de rupture. Ces deux-là, qui ne se connaissent pas, vont se rencontrer par hasard à Lisbonne. Et se parler. Une seule question les taraude : comment affronter la disparition de l'être aimé ? Et le manque ? Au fil de leurs déambulations dans cette ville mélancolique, dont la fameuse saudade imprègne chacune des ruelles tortueuses, ne cherchent-ils pas à panser leurs blessures et à s'intéresser, de nouveau, aux vivants ?
Hélène a vu en direct à la télévision les images d'un tremblement de terre dévastateur dans une ville lointaine ; son mari séjournait là-bas, à ce moment précis. Mathieu, quant à lui, a trouvé un jour dans un appartement vide une lettre de rupture. Ces deux-là, qui ne se connaissent pas, vont se rencontrer par hasard à Lisbonne. Et se parler. Une seule question les taraude : comment affronter la disparition de l'être aimé ? Et le manque ? Au fil de leurs déambulations dans cette ville mélancolique, dont la fameuse saudade imprègne chacune des ruelles tortueuses, ne cherchent-ils pas à panser leurs blessures et à s'intéresser, de nouveau, aux vivants ?
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
3 Coups de cœur
de nos libraires
Yann G— Decitre Ecully
5/5
“ Philippe Besson ”
Hélène et Matthieu, deux français, se rencontrent dans un hôtel de Lisbonne, attirés par la solitude et la douleur qu'ils devinent chez l'autre. Pour quelques jours, ils vont se lier d'une amitié qu'ils savent temporaire, qui leur permettra de se livrer, de parler du deuil ou de la rupture dont on ne se remet pas, de vider leur sac devenu trop lourd.
Un roman intimiste, plein de sensibilité et de justesse sur le manque de l'être aimé.
Hélène et Matthieu, deux français, se rencontrent dans un hôtel de Lisbonne, attirés par la solitude et la douleur qu'ils devinent chez l'autre. Pour quelques jours, ils vont se lier d'une amitié qu'ils savent temporaire, qui leur permettra de se livrer, de parler du deuil ou de la rupture dont on ne se remet pas, de vider leur sac devenu trop lourd.
Un roman intimiste, plein de sensibilité et de justesse sur le manque de l'être aimé.

Fabrice — Decitre Part-Dieu
4/5
“ Un beau roman ”
Une rencontre entre deux âmes en peine : Mathieu et Hélène. Chacun déplore la perte d'un proche. La rencontre de ces deux personnes qui ne se connaissaient pas avant leur arrivée à Lisbonne va leur permettre de surmonter leur douleur. Leurs discussions, promenades, confessions intimes vont leur permettre d'être plus forts.
J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur.
Une rencontre entre deux âmes en peine : Mathieu et Hélène. Chacun déplore la perte d'un proche. La rencontre de ces deux personnes qui ne se connaissaient pas avant leur arrivée à Lisbonne va leur permettre de surmonter leur douleur. Leurs discussions, promenades, confessions intimes vont leur permettre d'être plus forts.
J'ai beaucoup aimé l'écriture de l'auteur.

Josette M.— Decitre Ecully
5/5
“ A lire absolument ”
Les passants de Lisbonne, une rencontre entre Hélène et Matthieu que rien ne prédestinait à se rencontrer, va modifier le cours de leur vie.Pleine d'émotions et de sensibilité cette complicité va se révéler être une véritable thérapie ou chacun va pouvoir reprendre doucement goût à la vie. Un véritable roman intimiste comme sait en écrire Philippe Besson.
Les passants de Lisbonne, une rencontre entre Hélène et Matthieu que rien ne prédestinait à se rencontrer, va modifier le cours de leur vie.Pleine d'émotions et de sensibilité cette complicité va se révéler être une véritable thérapie ou chacun va pouvoir reprendre doucement goût à la vie. Un véritable roman intimiste comme sait en écrire Philippe Besson.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
3.8/5

2/5
“ Une dénaturation de Lisbonne...sur fond de roman ennuyeux ”
Il est difficile pour un lecteur qui a déjà été à Lisbonne et qui connaît un minimum cette belle capitale Portugaise au bord du Tage, de comprendre comment l'auteur a pu la dénaturer à ce point... Dans "Les Passants de Lisbonne", la ville devient étouffante, brûlante, avec des personnages qui se plaignent du ciel bleu et d'un soleil permanent ! La nuit, la ville est réduite à un cloaque sale, malveillant, où les touristes qui sortent dîner le soir, doivent se méfier des prostituées - essentiellement masculins - et des trafiquants de drogues. Certes, Lisbonne a ses travers tout comme Paris a sa violence, mais étais-ce une raison pour étaler le tout dans ce roman ?
Philippe Besson parle de cette ville comme s'il ne l'aimait pas. Quand il complimente les mosaïques, - les fameux azulejos peints à la main - voilà que les couleurs criardes des maisons viennent tout gâcher. Quand il parle du cimetière anglais, c'est le regard froid et hostile des vieilles femmes voilées qui ressort. Les hôtels fastueux deviennent des prisons dorées, le vent venant du Tage n'apporte jamais assez d'air et la ville devient bruyante, assourdissante à rendre fous. Il est vraiment dommage de peindre un portrait presque agressif de Lisbonne - aussi bien en terme de couleurs, d'odeurs de poissons grillés, de paroles hautes, que de bruits de la circulation et du tramway - , alors que l'intérêt de cette ville - rare capitale au bord de l'eau - va bien au-delà d'un dédain de touristes...
Hélène a perdu son mari dans un terrible tremblement de terre qui a ravagé la ville de San Francisco, aux Etats-Unis. Folle amoureuse, elle n'arrive pas à oublier Vincent, dont elle n'a jamais pu récupérer le corps. En venant à Lisbonne, - qui ressemble architecturalement à San Francisco et qui a elle aussi connu un tremblement de terre violent en 1755 - Hélène essaye de reconstruire sa vie et de se dire qu'elle peut avancer. Et pourtant, elle choisit une ville qui lui rappelle celle où son mari est décédé - à défaut de pouvoir s'y rendre physiquement.
Au fil des pages, on découvre une femme anémiée, anorexique, froide, égocentrique et qui n'hésite pas - c'est peu crédible - à parler de sa vie personnelle et de ses douleurs à un inconnu. Alors même que c'est une femme d'ordinaire taciturne qui ne se mêle pas à la foule et n'aime pas s'exposer... Malgré sa douleur, il est difficile pour le lecteur d'avoir de la peine pour elle, autrement qu'à certains moments profondément touchants. Le reste du temps, elle tourne en rond en parlant toujours de la même chose, ponctuant sa tragédie d'horribles pauses qui font buter le lecteur.
L'histoire de Mathieu, le Français qui connaît bien Lisbonne et n'est pas là par hasard, n'est pas plus intéressante. Cet homme, dont il est difficile de dresser un portrait, n'arrive pas à oublier sa brutale rupture avec Diego, un Portugais avec qui il est resté cinq ans et qui l'a quitté avec froideur en lui laissant une lettre de rupture. La relation à distance entre Paris et Lisbonne était devenue trop lourde pour lui. Tout espoir s'envole alors pour le lecteur, d'espérer que Mathieu et Hélène vont finir ensemble, pansant ainsi leurs blessures. Mathieu est bisexuel, - plus homosexuel - noctambule qui fait la tournée des bars et des prostituées dans les ruelles de la ville.
D'emblée, ce personnage dérange le lecteur. À travers la plume de l'auteur, - car tout au long du récit, on sent bien que c'est Philippe Besson qui parle, accordant peu de crédibilité et de place à ses personnages - Mathieu devient un fin analyste, prêt à percer l'armure de la maigre Hélène. Il a ce côté irrévérencieux, comme s'il faisait semblant de ne rien demander, alors qu'il meurt d'envie de connaître tout ce qui a bien pu arriver à cette pauvre femme. Le récit piétine, car quand on croit avancer et enfin s'approcher de la vérité, d'insupportables suspens viennent tout gâcher. Au final, Mathieu est aussi froid qu'Hélène, n'arrivant pas à rendre crédible son histoire d'amour avec Diego, fantôme d'un passé qui n'intéresse pas le lecteur...
L'ensemble se mélange et devient donc confus, parce que finalement, nous n'arrivons pas à savoir si les personnages veulent se livrer ou pas. Quel est leur but ? Êtres écoutés, pouvoir se plaindre pendant des jours en toute légitimité, parce que la personne en face est aussi malheureuse ? Ressasser leur malheur jusqu'à fondre en larmes, se suicider ou bien enfin pouvoir aller de l'avant ? Sans omettre le manque de crédibilité à leur rencontre, ces discussions forcées et impromptues qui nous amènent à nous demander où est l'utilité.
Enfin, le style d'écriture de Philippe Besson nuit aussi gravement à son histoire. Il a quelque chose de très travaillé, comme s'il avait mis de longues minutes à choisir chacun des mots, déballant toute une série de synonymes qui apportent de la lourdeur au texte - déjà pesant en raison de la chaleur de la ville dont il est sans cesse question. L'écriture est artificielle, fausse, comme si tout ceci était une farce ou un exercice de psychanalyse. Ce n'est pas écrit avec naturel, c'est psychologique, scientifique, retirant tout ce qu'il y a de léger et d'envoûtant dans la lecture d'un roman. Ce livre - et c'est le comble ! - n'est pas du tout dépaysant !
Dans un même temps, le style est plat. L'ensemble laisse une sensation d'effort, de travail difficile à mettre en place, d'énergie usante. Comme si l'auteur était vraiment au cœur de la ville, accablé par le soleil. Malgré lui, il arrive à faire ressentir une sorte de lassitude, regrettant presque la froideur et la noirceur de Paris. C'est un beau gâchis, appuyé par le caractère omniscient de la narration qui décortique les moindres pensées des personnages, gâchant le plaisir de lire.
Il est difficile pour un lecteur qui a déjà été à Lisbonne et qui connaît un minimum cette belle capitale Portugaise au bord du Tage, de comprendre comment l'auteur a pu la dénaturer à ce point... Dans "Les Passants de Lisbonne", la ville devient étouffante, brûlante, avec des personnages qui se plaignent du ciel bleu et d'un soleil permanent ! La nuit, la ville est réduite à un cloaque sale, malveillant, où les touristes qui sortent dîner le soir, doivent se méfier des prostituées - essentiellement masculins - et des trafiquants de drogues. Certes, Lisbonne a ses travers tout comme Paris a sa violence, mais étais-ce une raison pour étaler le tout dans ce roman ?
Philippe Besson parle de cette ville comme s'il ne l'aimait pas. Quand il complimente les mosaïques, - les fameux azulejos peints à la main - voilà que les couleurs criardes des maisons viennent tout gâcher. Quand il parle du cimetière anglais, c'est le regard froid et hostile des vieilles femmes voilées qui ressort. Les hôtels fastueux deviennent des prisons dorées, le vent venant du Tage n'apporte jamais assez d'air et la ville devient bruyante, assourdissante à rendre fous. Il est vraiment dommage de peindre un portrait presque agressif de Lisbonne - aussi bien en terme de couleurs, d'odeurs de poissons grillés, de paroles hautes, que de bruits de la circulation et du tramway - , alors que l'intérêt de cette ville - rare capitale au bord de l'eau - va bien au-delà d'un dédain de touristes...
Hélène a perdu son mari dans un terrible tremblement de terre qui a ravagé la ville de San Francisco, aux Etats-Unis. Folle amoureuse, elle n'arrive pas à oublier Vincent, dont elle n'a jamais pu récupérer le corps. En venant à Lisbonne, - qui ressemble architecturalement à San Francisco et qui a elle aussi connu un tremblement de terre violent en 1755 - Hélène essaye de reconstruire sa vie et de se dire qu'elle peut avancer. Et pourtant, elle choisit une ville qui lui rappelle celle où son mari est décédé - à défaut de pouvoir s'y rendre physiquement.
Au fil des pages, on découvre une femme anémiée, anorexique, froide, égocentrique et qui n'hésite pas - c'est peu crédible - à parler de sa vie personnelle et de ses douleurs à un inconnu. Alors même que c'est une femme d'ordinaire taciturne qui ne se mêle pas à la foule et n'aime pas s'exposer... Malgré sa douleur, il est difficile pour le lecteur d'avoir de la peine pour elle, autrement qu'à certains moments profondément touchants. Le reste du temps, elle tourne en rond en parlant toujours de la même chose, ponctuant sa tragédie d'horribles pauses qui font buter le lecteur.
L'histoire de Mathieu, le Français qui connaît bien Lisbonne et n'est pas là par hasard, n'est pas plus intéressante. Cet homme, dont il est difficile de dresser un portrait, n'arrive pas à oublier sa brutale rupture avec Diego, un Portugais avec qui il est resté cinq ans et qui l'a quitté avec froideur en lui laissant une lettre de rupture. La relation à distance entre Paris et Lisbonne était devenue trop lourde pour lui. Tout espoir s'envole alors pour le lecteur, d'espérer que Mathieu et Hélène vont finir ensemble, pansant ainsi leurs blessures. Mathieu est bisexuel, - plus homosexuel - noctambule qui fait la tournée des bars et des prostituées dans les ruelles de la ville.
D'emblée, ce personnage dérange le lecteur. À travers la plume de l'auteur, - car tout au long du récit, on sent bien que c'est Philippe Besson qui parle, accordant peu de crédibilité et de place à ses personnages - Mathieu devient un fin analyste, prêt à percer l'armure de la maigre Hélène. Il a ce côté irrévérencieux, comme s'il faisait semblant de ne rien demander, alors qu'il meurt d'envie de connaître tout ce qui a bien pu arriver à cette pauvre femme. Le récit piétine, car quand on croit avancer et enfin s'approcher de la vérité, d'insupportables suspens viennent tout gâcher. Au final, Mathieu est aussi froid qu'Hélène, n'arrivant pas à rendre crédible son histoire d'amour avec Diego, fantôme d'un passé qui n'intéresse pas le lecteur...
L'ensemble se mélange et devient donc confus, parce que finalement, nous n'arrivons pas à savoir si les personnages veulent se livrer ou pas. Quel est leur but ? Êtres écoutés, pouvoir se plaindre pendant des jours en toute légitimité, parce que la personne en face est aussi malheureuse ? Ressasser leur malheur jusqu'à fondre en larmes, se suicider ou bien enfin pouvoir aller de l'avant ? Sans omettre le manque de crédibilité à leur rencontre, ces discussions forcées et impromptues qui nous amènent à nous demander où est l'utilité.
Enfin, le style d'écriture de Philippe Besson nuit aussi gravement à son histoire. Il a quelque chose de très travaillé, comme s'il avait mis de longues minutes à choisir chacun des mots, déballant toute une série de synonymes qui apportent de la lourdeur au texte - déjà pesant en raison de la chaleur de la ville dont il est sans cesse question. L'écriture est artificielle, fausse, comme si tout ceci était une farce ou un exercice de psychanalyse. Ce n'est pas écrit avec naturel, c'est psychologique, scientifique, retirant tout ce qu'il y a de léger et d'envoûtant dans la lecture d'un roman. Ce livre - et c'est le comble ! - n'est pas du tout dépaysant !
Dans un même temps, le style est plat. L'ensemble laisse une sensation d'effort, de travail difficile à mettre en place, d'énergie usante. Comme si l'auteur était vraiment au cœur de la ville, accablé par le soleil. Malgré lui, il arrive à faire ressentir une sorte de lassitude, regrettant presque la froideur et la noirceur de Paris. C'est un beau gâchis, appuyé par le caractère omniscient de la narration qui décortique les moindres pensées des personnages, gâchant le plaisir de lire.
- drame
- deuil
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- Lisbonne
- rencontre
- Soleil
- Portugal
- douleur
- tremblement de terre
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- confidences
- rupture amoureuse
- homosexualité masculine
- chaleur
- fragilite
- voyage dans le passé
- Les Passants de Lisbonne
- Philippe Besson
- inconnus

5/5
“ magnifique roman ”
A Lisbonne, Hélène et Mathieu vont faire connaissance.
Plus précisément, Mathieu aborde Hélène car depuis deux semaines, elle est seule et semble dévastée.
En effet, quelques mois auparavant, Hélène a perdu son mari lors d'un tremblement de terre à San Francisco.
Mathieu souffre également d'une autre sorte de perte: la rupture.
Chaque jour, ils vont se confier sur la douleur, l'absence et le manque de l'être aimé.
Philippe Besson décortique à nouveau l'intime de ses personnages à travers ce magnifique roman.
A Lisbonne, Hélène et Mathieu vont faire connaissance.
Plus précisément, Mathieu aborde Hélène car depuis deux semaines, elle est seule et semble dévastée.
En effet, quelques mois auparavant, Hélène a perdu son mari lors d'un tremblement de terre à San Francisco.
Mathieu souffre également d'une autre sorte de perte: la rupture.
Chaque jour, ils vont se confier sur la douleur, l'absence et le manque de l'être aimé.
Philippe Besson décortique à nouveau l'intime de ses personnages à travers ce magnifique roman.

4/5
“ Un récit subtil ”
Deux personnes se croisent dans le hall d'un hôtel à Lisbonne. Deux âmes égarées, elle, les yeux perdus dans le vague, lui, la recherche de souvenirs enfouis.
Ils se trouvent, s'apprivoisent, se comprennent. Ensemble, ils vont redresser la tête et prendre un nouveau départ.
Un récit subtil et fin.
Une écriture précise pour raconter l'inconcevable, la perte de l'être aimé, le deuil impossible à faire.
Et la vie qui suit son court, implacable.
Une lecture sensible et touchante.
Deux personnes se croisent dans le hall d'un hôtel à Lisbonne. Deux âmes égarées, elle, les yeux perdus dans le vague, lui, la recherche de souvenirs enfouis.
Ils se trouvent, s'apprivoisent, se comprennent. Ensemble, ils vont redresser la tête et prendre un nouveau départ.
Un récit subtil et fin.
Une écriture précise pour raconter l'inconcevable, la perte de l'être aimé, le deuil impossible à faire.
Et la vie qui suit son court, implacable.
Une lecture sensible et touchante.
A propos de Philippe Besson

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