Les parties d'échecs de Bobby Fischer
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- Nombre de pages518
- PrésentationBroché
- Poids0.549 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,7 cm
- ISBN978-2-228-88669-7
- EAN9782228886697
- Date de parution24/10/2007
- CollectionEchecs
- ÉditeurPayot
Résumé
Dans ces deux phrases, tout l'engagement mental et le véritable amour du jeu d'échecs de Bobby Fischer sont résumés. En rassemblant toutes les parties de celui qui brisa l'hégémonie soviétique en battant Boris Spassky pour la couronne mondiale en 1972, les auteurs nous montrent, parties à l'appui, tout le chemin parcouru par le kid de Brooklyn. Des petits tournois obscurs à sa grande entrée sur l'arène internationale à quinze ans, Bobby Fischer consacrait selon ses propres dires "98 % de son énergie aux échecs là où d'autres en consacrent 2 %" .
En rejouant ses parties, en analysant ses résultats, on voit Fischer se battre à chaque coup. Si depuis les années Fischer, la théorie des ouvertures a évolué, cette force mentale et cette volonté de vaincre à n'importe quel stade de la partie et
En rejouant ses parties, en analysant ses résultats, on voit Fischer se battre à chaque coup. Si depuis les années Fischer, la théorie des ouvertures a évolué, cette force mentale et cette volonté de vaincre à n'importe quel stade de la partie et
Dans ces deux phrases, tout l'engagement mental et le véritable amour du jeu d'échecs de Bobby Fischer sont résumés. En rassemblant toutes les parties de celui qui brisa l'hégémonie soviétique en battant Boris Spassky pour la couronne mondiale en 1972, les auteurs nous montrent, parties à l'appui, tout le chemin parcouru par le kid de Brooklyn. Des petits tournois obscurs à sa grande entrée sur l'arène internationale à quinze ans, Bobby Fischer consacrait selon ses propres dires "98 % de son énergie aux échecs là où d'autres en consacrent 2 %" .
En rejouant ses parties, en analysant ses résultats, on voit Fischer se battre à chaque coup. Si depuis les années Fischer, la théorie des ouvertures a évolué, cette force mentale et cette volonté de vaincre à n'importe quel stade de la partie et
En rejouant ses parties, en analysant ses résultats, on voit Fischer se battre à chaque coup. Si depuis les années Fischer, la théorie des ouvertures a évolué, cette force mentale et cette volonté de vaincre à n'importe quel stade de la partie et