Les Minimes, un quartier de Toulouse. Pages d'histoire jadis et naguère
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- Poids0.175 kg
- Dimensions14,5 cm × 20,3 cm × 0,7 cm
- ISBN2-907416-25-1
- EAN9782907416252
- Date de parution01/04/2003
- CollectionMémoires des pays d'Oc
- ÉditeurAmis Archives Haute-Garonne
Résumé
Les historiens de Toulouse s'intéressent essentiellement au cœur de la ville enserrée dans les remparts jusqu'au XIXème siècle et à une minorité de ses habitants, les notables, dont on dit qu'ils ont fait l'histoire. Or ce noyau de la cité ne représente que 150 hectares. Ne s'est-il rien passé dans le reste de la commune qui depuis le XIIème siècle, s'étend sur 1200 hectares ? Le peuple anonyme des toulousains ordinaires est lui aussi, lui surtout, acteur de l'histoire. Par exemple, hors de la porte Saint Bernard, il a mis en culture le terroir, tracé des chemins, construit, peiné, souffert, aimé. Le présent ouvrage essaie de rassembler des récits et des témoignages sur la vie des habitants des Minimes, des pages d'histoire glanées au cours de siècles, jadis et naguère. Le saviez-vous ? La Garonne a coulé sur l'emplacement du quartier des Minimes. Celui-ci n'a de nom que depuis l'installation des religieux Minimes au XVIème siècle. Son urbanisation est récente ; une campagne n'est devenue banlieue, puis faubourg et quartier qu'aux XIXème et XXème siècles.
Les historiens de Toulouse s'intéressent essentiellement au cœur de la ville enserrée dans les remparts jusqu'au XIXème siècle et à une minorité de ses habitants, les notables, dont on dit qu'ils ont fait l'histoire. Or ce noyau de la cité ne représente que 150 hectares. Ne s'est-il rien passé dans le reste de la commune qui depuis le XIIème siècle, s'étend sur 1200 hectares ? Le peuple anonyme des toulousains ordinaires est lui aussi, lui surtout, acteur de l'histoire. Par exemple, hors de la porte Saint Bernard, il a mis en culture le terroir, tracé des chemins, construit, peiné, souffert, aimé. Le présent ouvrage essaie de rassembler des récits et des témoignages sur la vie des habitants des Minimes, des pages d'histoire glanées au cours de siècles, jadis et naguère. Le saviez-vous ? La Garonne a coulé sur l'emplacement du quartier des Minimes. Celui-ci n'a de nom que depuis l'installation des religieux Minimes au XVIème siècle. Son urbanisation est récente ; une campagne n'est devenue banlieue, puis faubourg et quartier qu'aux XIXème et XXème siècles.