Les Marches de l'Empereur

Par : Martin Motte
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  • Nombre de pages268
  • PrésentationCoffret
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.295 kg
  • Dimensions27,0 cm × 32,0 cm × 4,0 cm
  • ISBN978-2-915347-53-1
  • EAN9782915347531
  • Date de parution16/11/2007
  • ÉditeurLittle Big Man

Résumé

"L'Empereur gagne la guerre avec nos jambes" : cette boutade prêtée aux grognards contient le secret des victoires napoléoniennes. Elles ont régulièrement été acquises avant même la prise de contact avec l'ennemi, par une mobilisation beaucoup plus rapide que la sienne et une concentration foudroyante sur ses points vulnérables. En ces courses haletantes, on a pu voir une anticipation de la Blitzkrieg. Napoléon a d'ailleurs mis moins de temps pour faire l'aller et retour entre la Pologne et Moscou que la Wehrmacht pour arriver devant la capitale de la Russie, ou elle n'est jamais entrée. Mais la prodigieuse mobilité des armées impériales ne découle pas des seuls mots d'ordre de Napoléon. Il fallait encore que le soldat fût assez motivé pour accepter les marches forcées, la logistique assez légère pour ne point entraver le rythme des opérations et assez performante pour autoriser les plus lointaines projections de forces, l'état-major assez compétent pour manier d'énormes effectifs à travers toute l'Europe. Bref, en tirant le fil de la mobilité stratégique, on déroule tout l'écheveau du système de guerre napoléonien. A la fois étude stratégique appuyée sur de nombreux croquis originaux et méditation sur la philosophie de la guerre, ce livre explore le passage des conflits dynastiques aux conflits nationaux. Il propose ses propres réponses à une question qui continue de diviser les historiens : la Révolution et l'Empire ont-ils inventé la guerre totale ?
"L'Empereur gagne la guerre avec nos jambes" : cette boutade prêtée aux grognards contient le secret des victoires napoléoniennes. Elles ont régulièrement été acquises avant même la prise de contact avec l'ennemi, par une mobilisation beaucoup plus rapide que la sienne et une concentration foudroyante sur ses points vulnérables. En ces courses haletantes, on a pu voir une anticipation de la Blitzkrieg. Napoléon a d'ailleurs mis moins de temps pour faire l'aller et retour entre la Pologne et Moscou que la Wehrmacht pour arriver devant la capitale de la Russie, ou elle n'est jamais entrée. Mais la prodigieuse mobilité des armées impériales ne découle pas des seuls mots d'ordre de Napoléon. Il fallait encore que le soldat fût assez motivé pour accepter les marches forcées, la logistique assez légère pour ne point entraver le rythme des opérations et assez performante pour autoriser les plus lointaines projections de forces, l'état-major assez compétent pour manier d'énormes effectifs à travers toute l'Europe. Bref, en tirant le fil de la mobilité stratégique, on déroule tout l'écheveau du système de guerre napoléonien. A la fois étude stratégique appuyée sur de nombreux croquis originaux et méditation sur la philosophie de la guerre, ce livre explore le passage des conflits dynastiques aux conflits nationaux. Il propose ses propres réponses à une question qui continue de diviser les historiens : la Révolution et l'Empire ont-ils inventé la guerre totale ?
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