Pour la première fois est présenté un ensemble unique parmi les collections de la reine Marie-Antoinette : les laques du Japon. Exceptionnellement préservés, grâce aux dispositions que prit la reine avant de quitter Versailles en octobre 1789, ces objets précieux à l'esthétique raffinée - boîtes, écritoires, encensoirs, coffrets - sont aujourd'hui la possession de trois musées le Louvre, le musée Guimet et le château de Versailles. Outre leur qualité remarquable, ils avaient pour Marie-Antoinette une grande valeur sentimentale : leur majeure partie provenait, en effet, du legs de sa mère, l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche. Reflet de l'engouement pour les arts d'Extrême-Orient au XVIIIe siècle, ces pièces rares, soigneusement disposées dans le cabinet doré de la reine, formaient l'une des plus belles collections de laques de l'Ancien Régime.
Pour la première fois est présenté un ensemble unique parmi les collections de la reine Marie-Antoinette : les laques du Japon. Exceptionnellement préservés, grâce aux dispositions que prit la reine avant de quitter Versailles en octobre 1789, ces objets précieux à l'esthétique raffinée - boîtes, écritoires, encensoirs, coffrets - sont aujourd'hui la possession de trois musées le Louvre, le musée Guimet et le château de Versailles. Outre leur qualité remarquable, ils avaient pour Marie-Antoinette une grande valeur sentimentale : leur majeure partie provenait, en effet, du legs de sa mère, l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche. Reflet de l'engouement pour les arts d'Extrême-Orient au XVIIIe siècle, ces pièces rares, soigneusement disposées dans le cabinet doré de la reine, formaient l'une des plus belles collections de laques de l'Ancien Régime.