Les kapos d'Auschwitz

Par : Charles Liblau

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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-84950-034-8
  • EAN9782849500347
  • Date de parution01/04/2005
  • ÉditeurSyllepse (Editions)

Résumé

" ... Vif intérêt pour " Les Kapos d'Auschwitz... Mes remerciements pour me l'avoir envoyé. " André Malraux. " Les kapos étaient des figures troublantes et sinistres dans un système subtilement pervers inventé par les bourreaux qui octroyaient à une partie des déportés des tâches de gestion et de contrôle du camp. La violence des SS était en quelque sorte médiatisée par les kapos. Bref, le camp était conçu de telle façon que sa violence semblait l'œuvre des détenus eux-mêmes. Les kapos sont placés au centre de ce récit. L'auteur nous en croque plusieurs portraits extrêmement vifs et saisissants. Il est étonnant de constater que cet ouvrage a pratiquement été ignoré par l'historiographie au moment de sa parution, en 1974. Son importance n'a cependant pas échappé au musée d'Auschwitz, qui en a publié une version polonaise en 1996 et une allemande trois ans plus tard. " Enzo Traverso
" ... Vif intérêt pour " Les Kapos d'Auschwitz... Mes remerciements pour me l'avoir envoyé. " André Malraux. " Les kapos étaient des figures troublantes et sinistres dans un système subtilement pervers inventé par les bourreaux qui octroyaient à une partie des déportés des tâches de gestion et de contrôle du camp. La violence des SS était en quelque sorte médiatisée par les kapos. Bref, le camp était conçu de telle façon que sa violence semblait l'œuvre des détenus eux-mêmes. Les kapos sont placés au centre de ce récit. L'auteur nous en croque plusieurs portraits extrêmement vifs et saisissants. Il est étonnant de constater que cet ouvrage a pratiquement été ignoré par l'historiographie au moment de sa parution, en 1974. Son importance n'a cependant pas échappé au musée d'Auschwitz, qui en a publié une version polonaise en 1996 et une allemande trois ans plus tard. " Enzo Traverso