Faten Hadj Kacem Epouse Akid est née le 10 juin 1983 à Sfax (Tunisie). Docteur en médecine de l'Université de Sfax en 2012. Spécialiste en endocrinologie-diabétologie et maladie métabolique. Assistante hospitalo- universitaire à l'hopital Hédi Chaker de Sfax.
Les hyperaldostéronismes primaires. Les nouveautés diagnostiques et thérapeutiques
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- Nombre de pages140
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.216 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-3-8416-3552-5
- EAN9783841635525
- Date de parution23/10/2015
- CollectionOMN.PRES.FRANC.
- ÉditeurAcadémiques
Résumé
L'hyperaldostéronisme primaire (HAP) est considéré comme la cause la plus fréquente d'HTA secondaire. Sa prévalence est à la hausse. But : Actualiser les critères de dépistage, la démarche diagnostique et la prise en charge thérapeutique de l'HAP. Méthodes : étude descriptive concernant 38 patients présentant un HAP. Résultats : L'âge moyen de nos patients était de 56, 1 ans. Nos patients se répartissaient en 21 hommes et 17 femmes.
L'HAP était découvert essentiellement devant une HTA associée à une hypokaliémie (52, 6%). Les signes cliniques de l'hypokaliémie sont dominés par l'asthénie physique dans 44, 7%. La kaliémie moyenne était de 3, 23 mmol/l. Le rapport aldostérone/ rénine était supérieur à 23 dans tous les cas. L'étiologie était dominée par l'adénome de Conn suivie par l'hyperplasie bilatérale des surrénales puis par l'hyperplasie unilatérale des surrénales.
Conclusion : Nous insistons sur la nécessité de dépister l'HAP devant un retentissement cardiovasculaire et cérébral marqué disproportionnel à la sévérité de l'HTA, l'association d'une HTA mal contrôlée à un syndrome métabolique ou à un syndrome d'apnée du sommeil et enfin devant une hypokaliémie inexpliquée même sans HTA.
L'HAP était découvert essentiellement devant une HTA associée à une hypokaliémie (52, 6%). Les signes cliniques de l'hypokaliémie sont dominés par l'asthénie physique dans 44, 7%. La kaliémie moyenne était de 3, 23 mmol/l. Le rapport aldostérone/ rénine était supérieur à 23 dans tous les cas. L'étiologie était dominée par l'adénome de Conn suivie par l'hyperplasie bilatérale des surrénales puis par l'hyperplasie unilatérale des surrénales.
Conclusion : Nous insistons sur la nécessité de dépister l'HAP devant un retentissement cardiovasculaire et cérébral marqué disproportionnel à la sévérité de l'HTA, l'association d'une HTA mal contrôlée à un syndrome métabolique ou à un syndrome d'apnée du sommeil et enfin devant une hypokaliémie inexpliquée même sans HTA.
L'hyperaldostéronisme primaire (HAP) est considéré comme la cause la plus fréquente d'HTA secondaire. Sa prévalence est à la hausse. But : Actualiser les critères de dépistage, la démarche diagnostique et la prise en charge thérapeutique de l'HAP. Méthodes : étude descriptive concernant 38 patients présentant un HAP. Résultats : L'âge moyen de nos patients était de 56, 1 ans. Nos patients se répartissaient en 21 hommes et 17 femmes.
L'HAP était découvert essentiellement devant une HTA associée à une hypokaliémie (52, 6%). Les signes cliniques de l'hypokaliémie sont dominés par l'asthénie physique dans 44, 7%. La kaliémie moyenne était de 3, 23 mmol/l. Le rapport aldostérone/ rénine était supérieur à 23 dans tous les cas. L'étiologie était dominée par l'adénome de Conn suivie par l'hyperplasie bilatérale des surrénales puis par l'hyperplasie unilatérale des surrénales.
Conclusion : Nous insistons sur la nécessité de dépister l'HAP devant un retentissement cardiovasculaire et cérébral marqué disproportionnel à la sévérité de l'HTA, l'association d'une HTA mal contrôlée à un syndrome métabolique ou à un syndrome d'apnée du sommeil et enfin devant une hypokaliémie inexpliquée même sans HTA.
L'HAP était découvert essentiellement devant une HTA associée à une hypokaliémie (52, 6%). Les signes cliniques de l'hypokaliémie sont dominés par l'asthénie physique dans 44, 7%. La kaliémie moyenne était de 3, 23 mmol/l. Le rapport aldostérone/ rénine était supérieur à 23 dans tous les cas. L'étiologie était dominée par l'adénome de Conn suivie par l'hyperplasie bilatérale des surrénales puis par l'hyperplasie unilatérale des surrénales.
Conclusion : Nous insistons sur la nécessité de dépister l'HAP devant un retentissement cardiovasculaire et cérébral marqué disproportionnel à la sévérité de l'HTA, l'association d'une HTA mal contrôlée à un syndrome métabolique ou à un syndrome d'apnée du sommeil et enfin devant une hypokaliémie inexpliquée même sans HTA.