Les hommes illustrés.. Le tatouage des origines à nos jours
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- Nombre de pages240
- PrésentationRelié
- FormatGrand Format
- Poids1.305 kg
- Dimensions25,9 cm × 25,7 cm × 2,2 cm
- ISBN2-907051-96-2
- EAN9782907051965
- Date de parution05/12/2000
- ÉditeurLarivière (Editions)
Résumé
Le tatouage des origines à nos jours... ou plutôt devrait-on écrire, des origines connues à nos jours. Parce qu'au-delà des traces relevées sur le corps d'Otzi, l'hibernatus autrichien vieux de 5 300 ans, les racines de la pratique se perdent dans les glaces éternelles. D'où vient-elle ? Quand apparaît-elle ?
Seule certitude, son caractère est planétaire et son histoire multimillénaire. Le rite est si profondément inscrit chez l'être humain, qu'il lui semble naturel. Celtes, Eskimos, Egyptiens, Japonais, Berbères... rares sont les peuples du globe qui ne se soient marqués. Sous les piqûres des aiguilles, le corps est devenu carte d'identité, totem mystique... et le tatouage remède médical, épreuve initiatique, parure érotique...
Mais la civilisation, la colonisation et la religion vont, au cours des siècles, tenter de le faire disparaître, le reléguant au rang des marques d'infamie ou identitaire des parias de la société (truands, voyous et bagnards). Quelques restes pourtant de ces coutumes ancestrales avaient traversé les océans sous forme de photographies, de statuettes étranges, d'outils rudimentaires, empilés dans les malles à souvenir des voyageurs. Grâce à ces reliques reléguées dans les caves des musées, le souvenir du tatouage ne mourut pas tout à fait. Les marins, militaires et voyous, quant à eux, en avaient perpétué la pratique sous forme de dessins malhabiles.
Aujourd'hui, deux siècles après sa réintroduction en Occident, le tatouage reconquiert enfin ses lettres de noblesse. Et sa réhabilitation dans nos sociétés s'accompagne de sa redécouverte "là-bas", d'où nos ancêtres l'ont rapporté.
Par un curieux retournement de l'histoire, il retraverse les mers, réimporté par ceux là même qui l'avaient censuré. La boucle est bouclée...
Le tatouage des origines à nos jours... ou plutôt devrait-on écrire, des origines connues à nos jours. Parce qu'au-delà des traces relevées sur le corps d'Otzi, l'hibernatus autrichien vieux de 5 300 ans, les racines de la pratique se perdent dans les glaces éternelles. D'où vient-elle ? Quand apparaît-elle ?
Seule certitude, son caractère est planétaire et son histoire multimillénaire. Le rite est si profondément inscrit chez l'être humain, qu'il lui semble naturel. Celtes, Eskimos, Egyptiens, Japonais, Berbères... rares sont les peuples du globe qui ne se soient marqués. Sous les piqûres des aiguilles, le corps est devenu carte d'identité, totem mystique... et le tatouage remède médical, épreuve initiatique, parure érotique...
Mais la civilisation, la colonisation et la religion vont, au cours des siècles, tenter de le faire disparaître, le reléguant au rang des marques d'infamie ou identitaire des parias de la société (truands, voyous et bagnards). Quelques restes pourtant de ces coutumes ancestrales avaient traversé les océans sous forme de photographies, de statuettes étranges, d'outils rudimentaires, empilés dans les malles à souvenir des voyageurs. Grâce à ces reliques reléguées dans les caves des musées, le souvenir du tatouage ne mourut pas tout à fait. Les marins, militaires et voyous, quant à eux, en avaient perpétué la pratique sous forme de dessins malhabiles.
Aujourd'hui, deux siècles après sa réintroduction en Occident, le tatouage reconquiert enfin ses lettres de noblesse. Et sa réhabilitation dans nos sociétés s'accompagne de sa redécouverte "là-bas", d'où nos ancêtres l'ont rapporté.
Par un curieux retournement de l'histoire, il retraverse les mers, réimporté par ceux là même qui l'avaient censuré. La boucle est bouclée...