Les frontières de l'Empire romain (1er siècle avant J-C - 5e siècle après J-C)

Par : Michel Reddé

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  • Nombre de pages176
  • PrésentationRelié
  • Poids0.936 kg
  • Dimensions22,6 cm × 28,8 cm × 1,4 cm
  • ISBN979-10-91458-08-5
  • EAN9791091458085
  • Date de parution19/03/2014
  • CollectionArchéologie vivante
  • ÉditeurArchéologie Nouvelle

Résumé

Pendant des siècles, Rome n'a pas établi de fortifications le long de ses territoires puisque la conquête du monde lui était promise et que la force de ses légions suffisait à la protéger. Mais peu après la mort d'Auguste (14 après J-C), l'extension de l'Empire était devenue telle qu'il fallut songer à défendre ses limites. Commencèrent alors à se dessiner des frontières, qui pouvaient se matérialiser de façons différentes selon la géographie des pays concernés : le long d'un fleuve, à travers le désert, sur les rivages de la mer, ou, de manière plus spectaculaire encore, à l'aide d'une barrière continue comme le mur d'Hadrien, au nord de l'Angleterre ou le limes de Germanie supérieure, en Allemagne.
Au cours du temps, selon l'évolution des menaces, les systèmes défensifs se renforcèrent et devinrent de plus en plus sophistiqués. Au troisième siècle, les nombreuses attaques subies de toute part firent de la défense des frontières une priorité pour les empereurs, qui n'hésitaient plus à entreprendre de grands travaux - murailles, lignes de forts - pour assurer la sécurité des territoires qu'ils administraient.
En mobilisant les connaissances archéologiques les plus récentes sur les différents pays d'Europe, du Proche-Orient et d'Afrique du Nord, Michel Reddé nous révèle les politiques mises en oeuvre, leur application architecturale et la gestion des forces qui protégèrent le monde antique pendant plus de cinq siècles.
Pendant des siècles, Rome n'a pas établi de fortifications le long de ses territoires puisque la conquête du monde lui était promise et que la force de ses légions suffisait à la protéger. Mais peu après la mort d'Auguste (14 après J-C), l'extension de l'Empire était devenue telle qu'il fallut songer à défendre ses limites. Commencèrent alors à se dessiner des frontières, qui pouvaient se matérialiser de façons différentes selon la géographie des pays concernés : le long d'un fleuve, à travers le désert, sur les rivages de la mer, ou, de manière plus spectaculaire encore, à l'aide d'une barrière continue comme le mur d'Hadrien, au nord de l'Angleterre ou le limes de Germanie supérieure, en Allemagne.
Au cours du temps, selon l'évolution des menaces, les systèmes défensifs se renforcèrent et devinrent de plus en plus sophistiqués. Au troisième siècle, les nombreuses attaques subies de toute part firent de la défense des frontières une priorité pour les empereurs, qui n'hésitaient plus à entreprendre de grands travaux - murailles, lignes de forts - pour assurer la sécurité des territoires qu'ils administraient.
En mobilisant les connaissances archéologiques les plus récentes sur les différents pays d'Europe, du Proche-Orient et d'Afrique du Nord, Michel Reddé nous révèle les politiques mises en oeuvre, leur application architecturale et la gestion des forces qui protégèrent le monde antique pendant plus de cinq siècles.
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