Les fraises de Grouchy. Ou les secrets de la défaite de Napoléon à Waterloo

Par : Gérard Le Tulzo

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Nombre de pages161
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-87683-220-6
  • EAN9782876832206
  • Date de parution01/03/2009
  • ÉditeurLa Compagnie Littéraire

Résumé

"Blücher, c'était Grouchy". A prononcer cet hémistiche, la France, l'Empereur et Victor Hugo en eussent été couverts d'une gloire éternelle. A 19 h 15, en ce 18 juin 1815, sur le champ de bataille de Waterloo, la Garde impériale conduite par le dieu des batailles en personne enfonçait le centre anglais. Et Wellington suppliait "Blücher ou la nuit" de lui venir au secours. Surgissait alors le général Gérard, divisionnaire de Grouchy, dans le dos des Prussiens engagés contre le flanc droit de l'armée de Napoléon. Stupeur ! Waterloo, victoire totale ! Contre Anglais et Prussiens réunis au même festin du triomphe impérial. Hélas ! Trois fois hélas ! A la même heure, à la place de Gérard, Blücher inonde le champ de bataille de ses hussards de la mort et pénètre en coin dans l'aile droite française. "Grouchy, c'était Blücher". L'hydre de la débâcle ! Pourquoi un tel retournement de situation ? Comment une bataille gagnée à 7 heures peut-elle être perdue une demi-heure après ? Voilà ce à quoi cet ouvrage va tenter de répondre, s'attachant à la personnalité des belligérants, à leurs motivations pas toujours avouables, aux erreurs commises, bien sûr ; aux circonstances même, dont la conjonction n'aura jamais cessé d'être favorable aux Anglais et aux Prussiens. Comme un engrenage fatal !
"Blücher, c'était Grouchy". A prononcer cet hémistiche, la France, l'Empereur et Victor Hugo en eussent été couverts d'une gloire éternelle. A 19 h 15, en ce 18 juin 1815, sur le champ de bataille de Waterloo, la Garde impériale conduite par le dieu des batailles en personne enfonçait le centre anglais. Et Wellington suppliait "Blücher ou la nuit" de lui venir au secours. Surgissait alors le général Gérard, divisionnaire de Grouchy, dans le dos des Prussiens engagés contre le flanc droit de l'armée de Napoléon. Stupeur ! Waterloo, victoire totale ! Contre Anglais et Prussiens réunis au même festin du triomphe impérial. Hélas ! Trois fois hélas ! A la même heure, à la place de Gérard, Blücher inonde le champ de bataille de ses hussards de la mort et pénètre en coin dans l'aile droite française. "Grouchy, c'était Blücher". L'hydre de la débâcle ! Pourquoi un tel retournement de situation ? Comment une bataille gagnée à 7 heures peut-elle être perdue une demi-heure après ? Voilà ce à quoi cet ouvrage va tenter de répondre, s'attachant à la personnalité des belligérants, à leurs motivations pas toujours avouables, aux erreurs commises, bien sûr ; aux circonstances même, dont la conjonction n'aura jamais cessé d'être favorable aux Anglais et aux Prussiens. Comme un engrenage fatal !