Les fondements moraux des sociétés civiles occidentales

Par : Jean-Michel Tron

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages277
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.451 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-14-025722-3
  • EAN9782140257223
  • Date de parution24/08/2022
  • CollectionQuestions contemporaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Il y a en politique des réalités aux contours incertains qui demeurent imprécises. Tel est le cas de la Société civile : comme un opéra, elle est un ensemble d'éléments qui se fondent dans une unité, elle joue sur plusieurs registres, elle revêt des formes multiples. Après avoir été opposée à la Société ecclésiastique, la Société civile ressurgit face à l'Etat moderne qui se pare de la personnalité morale et se veut souverain.
Ils sont, comme le yin et le yang, enfermés dans un grand cercle, celui de la Nation ; ils sont indispensables l'un à l'autre ; ils s'opposent et se complètent dans une dialectique oscillant entre deux pôles, celui de la liberté et celui de l'égalité. Parce qu'il est le garant d'un ordre, l'Etat veut imposer à la Société civile une morale faite d'obéissance et d'autorité. Celle-ci réagit en lui rappelant que l'Homme a une conscience et, dès lors, une dignité qui doit être respectée.
Il y a en politique des réalités aux contours incertains qui demeurent imprécises. Tel est le cas de la Société civile : comme un opéra, elle est un ensemble d'éléments qui se fondent dans une unité, elle joue sur plusieurs registres, elle revêt des formes multiples. Après avoir été opposée à la Société ecclésiastique, la Société civile ressurgit face à l'Etat moderne qui se pare de la personnalité morale et se veut souverain.
Ils sont, comme le yin et le yang, enfermés dans un grand cercle, celui de la Nation ; ils sont indispensables l'un à l'autre ; ils s'opposent et se complètent dans une dialectique oscillant entre deux pôles, celui de la liberté et celui de l'égalité. Parce qu'il est le garant d'un ordre, l'Etat veut imposer à la Société civile une morale faite d'obéissance et d'autorité. Celle-ci réagit en lui rappelant que l'Homme a une conscience et, dès lors, une dignité qui doit être respectée.