Les folies du baron de Castille dans le parc du château d'Argilliers
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- Nombre de pages87
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.155 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 0,6 cm
- ISBN979-10-92826-53-1
- EAN9791092826531
- Date de parution01/07/2016
- ÉditeurLes Editions de la Fenestrelle
- ContributeurPierre-Marie Deparis
Résumé
Gabriel de Froment, baron de Castille, né à Uzès en 1747, a passé une grande partie de sa vie à transformer son château d'Argilliers, à côté du Pont du Gard, en "palais des mille colonnes". Il va également créer un parc qu'il va peupler jusqu'à sa mort en 1826 de fabriques, appelées aussi folies, souvent élevées à la mémoire d'êtres chers. Il va s'inspirer pour cela des parcs "pittoresques" qu'il avait découverts en Angleterre lors de ses séjours en 1777 et 1783.
Mais c'est surtout son "Grand Tour" en Italie, en 1778 et 1779, qui va déterminer son goût pour les colonnes et les décors antiques, admirés à Pompéi. C'est cette histoire que nous conte Thierry de Seguins-Cohorn, grâce aux documents provenant des archives familiales, héritées de la fille du baron de Castille, arrière grand-mère de son père. Pierre-Marie Deparis, quant à lui, nous initie au vocabulaire propre aux jardins et nous aide à déchiffrer le sens de ces folies, uniques dans le sud de la France.
Mais c'est surtout son "Grand Tour" en Italie, en 1778 et 1779, qui va déterminer son goût pour les colonnes et les décors antiques, admirés à Pompéi. C'est cette histoire que nous conte Thierry de Seguins-Cohorn, grâce aux documents provenant des archives familiales, héritées de la fille du baron de Castille, arrière grand-mère de son père. Pierre-Marie Deparis, quant à lui, nous initie au vocabulaire propre aux jardins et nous aide à déchiffrer le sens de ces folies, uniques dans le sud de la France.
Gabriel de Froment, baron de Castille, né à Uzès en 1747, a passé une grande partie de sa vie à transformer son château d'Argilliers, à côté du Pont du Gard, en "palais des mille colonnes". Il va également créer un parc qu'il va peupler jusqu'à sa mort en 1826 de fabriques, appelées aussi folies, souvent élevées à la mémoire d'êtres chers. Il va s'inspirer pour cela des parcs "pittoresques" qu'il avait découverts en Angleterre lors de ses séjours en 1777 et 1783.
Mais c'est surtout son "Grand Tour" en Italie, en 1778 et 1779, qui va déterminer son goût pour les colonnes et les décors antiques, admirés à Pompéi. C'est cette histoire que nous conte Thierry de Seguins-Cohorn, grâce aux documents provenant des archives familiales, héritées de la fille du baron de Castille, arrière grand-mère de son père. Pierre-Marie Deparis, quant à lui, nous initie au vocabulaire propre aux jardins et nous aide à déchiffrer le sens de ces folies, uniques dans le sud de la France.
Mais c'est surtout son "Grand Tour" en Italie, en 1778 et 1779, qui va déterminer son goût pour les colonnes et les décors antiques, admirés à Pompéi. C'est cette histoire que nous conte Thierry de Seguins-Cohorn, grâce aux documents provenant des archives familiales, héritées de la fille du baron de Castille, arrière grand-mère de son père. Pierre-Marie Deparis, quant à lui, nous initie au vocabulaire propre aux jardins et nous aide à déchiffrer le sens de ces folies, uniques dans le sud de la France.