Les filles de Belgrade ne m'ont jamais aimé
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- Poids0.259 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,7 cm
- ISBN2-7103-0500-3
- EAN9782710305002
- Date de parution01/08/1991
- ÉditeurTable Ronde (La)
Résumé
"Je ne suis toujours pas prêt à admettre cette réalité : les filles de Belgrade ne m'ont jamais aimé. Petites ou grandes, blondes, brunes ou rousses, couturières, étudiantes ou pianistes, elles mouraient d'ennui en ma présence. Tout ce que je pouvais trouver pour les distraire, les attendrir, les faisait partir en courant vers un autre. Et celui-là avait, comme par hasard, toujours une tête d'oeuf à la tignasse crépue.
Mes cheveux à moi étaient lisses et marqués par une raie à gauche, tracée une fois et pour toujours par Yovanka. Le séducteur, lui, jouait au foot, s'exerçait à la boxe ou à la lutte et surtout, surtout, pratiquait un art très particulier qui allait droit au coeur de ces jeunes personnes pures". Lazar Traïkovitch est un exilé perpétuel. Il passe son enfance dans un village de Serbie, chez un grand-père fabuleux qui l'élève dans l'amour de ses ancêtres et dans le culte de Nice, ville mirage pour les émigrants serbes.
Premier exil à Belgrade où il poursuit de brillantes études de médecine en restant persuadé qu'il est parfaitement idiot ! Dernier exil à Nice où il cultive la nostalgie tout en découvrant l'amour et les saveurs de la cuisine française rêvée depuis l'enfance entre les pages du grand Escoffier. Un chef-d'oeuvre de causticité, tendre, drolatique, sensuel.
Mes cheveux à moi étaient lisses et marqués par une raie à gauche, tracée une fois et pour toujours par Yovanka. Le séducteur, lui, jouait au foot, s'exerçait à la boxe ou à la lutte et surtout, surtout, pratiquait un art très particulier qui allait droit au coeur de ces jeunes personnes pures". Lazar Traïkovitch est un exilé perpétuel. Il passe son enfance dans un village de Serbie, chez un grand-père fabuleux qui l'élève dans l'amour de ses ancêtres et dans le culte de Nice, ville mirage pour les émigrants serbes.
Premier exil à Belgrade où il poursuit de brillantes études de médecine en restant persuadé qu'il est parfaitement idiot ! Dernier exil à Nice où il cultive la nostalgie tout en découvrant l'amour et les saveurs de la cuisine française rêvée depuis l'enfance entre les pages du grand Escoffier. Un chef-d'oeuvre de causticité, tendre, drolatique, sensuel.
"Je ne suis toujours pas prêt à admettre cette réalité : les filles de Belgrade ne m'ont jamais aimé. Petites ou grandes, blondes, brunes ou rousses, couturières, étudiantes ou pianistes, elles mouraient d'ennui en ma présence. Tout ce que je pouvais trouver pour les distraire, les attendrir, les faisait partir en courant vers un autre. Et celui-là avait, comme par hasard, toujours une tête d'oeuf à la tignasse crépue.
Mes cheveux à moi étaient lisses et marqués par une raie à gauche, tracée une fois et pour toujours par Yovanka. Le séducteur, lui, jouait au foot, s'exerçait à la boxe ou à la lutte et surtout, surtout, pratiquait un art très particulier qui allait droit au coeur de ces jeunes personnes pures". Lazar Traïkovitch est un exilé perpétuel. Il passe son enfance dans un village de Serbie, chez un grand-père fabuleux qui l'élève dans l'amour de ses ancêtres et dans le culte de Nice, ville mirage pour les émigrants serbes.
Premier exil à Belgrade où il poursuit de brillantes études de médecine en restant persuadé qu'il est parfaitement idiot ! Dernier exil à Nice où il cultive la nostalgie tout en découvrant l'amour et les saveurs de la cuisine française rêvée depuis l'enfance entre les pages du grand Escoffier. Un chef-d'oeuvre de causticité, tendre, drolatique, sensuel.
Mes cheveux à moi étaient lisses et marqués par une raie à gauche, tracée une fois et pour toujours par Yovanka. Le séducteur, lui, jouait au foot, s'exerçait à la boxe ou à la lutte et surtout, surtout, pratiquait un art très particulier qui allait droit au coeur de ces jeunes personnes pures". Lazar Traïkovitch est un exilé perpétuel. Il passe son enfance dans un village de Serbie, chez un grand-père fabuleux qui l'élève dans l'amour de ses ancêtres et dans le culte de Nice, ville mirage pour les émigrants serbes.
Premier exil à Belgrade où il poursuit de brillantes études de médecine en restant persuadé qu'il est parfaitement idiot ! Dernier exil à Nice où il cultive la nostalgie tout en découvrant l'amour et les saveurs de la cuisine française rêvée depuis l'enfance entre les pages du grand Escoffier. Un chef-d'oeuvre de causticité, tendre, drolatique, sensuel.