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  • Nombre de pages519
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.262 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-253-93493-6
  • EAN9782253934936
  • Date de parution09/11/2022
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Colmar, novembre 1924. Lisel Schmitt, vingt-deux ans, est première main dans un atelier de confection pour dames. Après avoir passé un an à Paris, employée d'une prestigieuse maison de couture, elle rêve de créer ses propres modèles et de faire carrière. Son destin, jusqu'alors paisible et prometteur, bascule le jour où un incendie se déclare dans le magasin où elle travaille. Piégée dans l'immeuble en flammes, elle est sauvée de justesse par Heinrich Keller, un pompier.
L'attirance est immédiate entre les deux jeunes gens, mais bientôt Lisel est victime d'une mystérieuse machination et confrontée à un terrible secret, ce qui pourrait briser tous ses rêves.
Colmar, novembre 1924. Lisel Schmitt, vingt-deux ans, est première main dans un atelier de confection pour dames. Après avoir passé un an à Paris, employée d'une prestigieuse maison de couture, elle rêve de créer ses propres modèles et de faire carrière. Son destin, jusqu'alors paisible et prometteur, bascule le jour où un incendie se déclare dans le magasin où elle travaille. Piégée dans l'immeuble en flammes, elle est sauvée de justesse par Heinrich Keller, un pompier.
L'attirance est immédiate entre les deux jeunes gens, mais bientôt Lisel est victime d'une mystérieuse machination et confrontée à un terrible secret, ce qui pourrait briser tous ses rêves.

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5/5
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Une héroïne qui affronte les épreuves avec panache
Colmar, Alsace, novembre 1924. Liesel est première main (l’équivalent de contremaître) dans l’atelier de couture de Mme Erna Weiss. Un matin, alors qu’elle tente de fuir les assiduités du commis, un incendie se déclare dans l’arrière-boutique. Elle court au premier étage, afin de mettre en sécurité, la robe qu’elle crée secrètement. Hélas, elle se retrouve prisonnière des flammes. Elle est sauvée par un pompier volontaire, Heinrich Keller. Elle ne sait pas que cette rencontre constitue les prémices des malheurs qui vont s’abattre sur elle. Un jour, Liesel croise Heinrich par hasard. Elle apprend qu’il est marié et a un fils de trois ans. Aussi, tous les deux luttent contre l’attirance qui les pousse l’un vers l’autre. Même s’il n’est pas heureux, le jeune homme ne peut pas divorcer. En effet, alors qu’elle ne s’occupe pas de son fils et le rejette depuis sa naissance, qui s’est très mal déroulée, Suzelle Keller le prend en otage. J’ai eu mal pour le petit Hansel qui cherche désespérément l’amour maternel et n’a que des rebuffades en réponse. Paradoxalement, sa mère menace son époux de partir avec le petit. Si Heinrich la quittait, il ne reverrait plus Hansel. Cela peut paraître paradoxal, mais je sais que c’est, parfois, une réalité : j’ai été cette enfant. Liesel est mêlée au désir de nuire de Suzelle. Cette dernière, aidée de ses parents, met en place une terrible machination, destinée à détruire la vie de la jeune couturière. Cette dernière ne peut pas lutter. La famille Frischer qui s’acharne sur elle possède de l’argent et des relations qui lui permettent de manipuler les institutions et l’opinion publique. Le destin prometteur de Liesel est brisé et ce sont de terribles épreuves qu’elle doit affronter. Elle n’est pas armée pour y faire face, cependant elle montre un courage immense. La vengeance dont elle est l’objet ne semble pas avoir de fin. Nous comprenons que le mal est profond et qu’il remonte à des faits anciens. Liesel n’est qu’un instrument pour ses détracteurs qui l’utilisent pour atteindre d’autres personnes. A travers l’histoire de cette jeune fille admirable, Marie-Bernadette Dupuy montre que la solidarité féminine s’exprime dans les moments les plus difficiles. Elle décrit, également, de quelle manière la discrimination sociale aveugle les jugements et que l’argent et la classe sociale donnent un pouvoir contre lequel il est difficile de se battre. Quand on le possède, il est aisé de détruire des réputations et d’acheter des mensonges qui conduisent à des drames. La vérité, peut-elle éclore dans un climat de corruption ? Quels sont ces secrets qui pèsent sur Liesel ? Elle-même ne le sait pas. Malheureusement, la parole ne se libère pas et c’est notre héroïne qui en subit les répercussions tragiques. Très attachée à elle, je tentais de comprendre pour quelle raison, ceux qui savaient ne parlaient pas. L’histoire se déroule au milieu des années 1920, en Alsace, qui est une région très marquée par la Première Guerre mondiale. L’auteure dépeint le déchirement cruel imposé à la population, pendant ces années terribles de combat. Un épisode, qui relate les ordres insoutenables reçus par les soldats alsaciens, m’a bouleversée. Enfin, tout au long du livre, je me suis questionnée au sujet d’une femme, prénommée Chris. Cette jeune femme a soutenu Liesel, à de nombreuses reprises, sans jamais révéler d’autres informations que son prénom. Qui est-elle ? La réponse n’est apportée qu’à la fin. Comme je l’ai déjà dit, les histoires de Marie-Bernadette Dupuy me parlent directement au cœur. J’ai eu un coup de cœur pour Les feux de Noël. Lorsque je ne le lisais pas, je ressentais, physiquement, le manque. Je n’avais qu’une hâte, c’était de continuer. Pourtant, j’attisais cette sensation de privation, car je ne voulais pas que ce roman magnifique se termine. Liesel est une héroïne passionnée, qui affronte les épreuves avec panache. Elle plie, mais ne rompt pas.
Colmar, Alsace, novembre 1924. Liesel est première main (l’équivalent de contremaître) dans l’atelier de couture de Mme Erna Weiss. Un matin, alors qu’elle tente de fuir les assiduités du commis, un incendie se déclare dans l’arrière-boutique. Elle court au premier étage, afin de mettre en sécurité, la robe qu’elle crée secrètement. Hélas, elle se retrouve prisonnière des flammes. Elle est sauvée par un pompier volontaire, Heinrich Keller. Elle ne sait pas que cette rencontre constitue les prémices des malheurs qui vont s’abattre sur elle. Un jour, Liesel croise Heinrich par hasard. Elle apprend qu’il est marié et a un fils de trois ans. Aussi, tous les deux luttent contre l’attirance qui les pousse l’un vers l’autre. Même s’il n’est pas heureux, le jeune homme ne peut pas divorcer. En effet, alors qu’elle ne s’occupe pas de son fils et le rejette depuis sa naissance, qui s’est très mal déroulée, Suzelle Keller le prend en otage. J’ai eu mal pour le petit Hansel qui cherche désespérément l’amour maternel et n’a que des rebuffades en réponse. Paradoxalement, sa mère menace son époux de partir avec le petit. Si Heinrich la quittait, il ne reverrait plus Hansel. Cela peut paraître paradoxal, mais je sais que c’est, parfois, une réalité : j’ai été cette enfant. Liesel est mêlée au désir de nuire de Suzelle. Cette dernière, aidée de ses parents, met en place une terrible machination, destinée à détruire la vie de la jeune couturière. Cette dernière ne peut pas lutter. La famille Frischer qui s’acharne sur elle possède de l’argent et des relations qui lui permettent de manipuler les institutions et l’opinion publique. Le destin prometteur de Liesel est brisé et ce sont de terribles épreuves qu’elle doit affronter. Elle n’est pas armée pour y faire face, cependant elle montre un courage immense. La vengeance dont elle est l’objet ne semble pas avoir de fin. Nous comprenons que le mal est profond et qu’il remonte à des faits anciens. Liesel n’est qu’un instrument pour ses détracteurs qui l’utilisent pour atteindre d’autres personnes. A travers l’histoire de cette jeune fille admirable, Marie-Bernadette Dupuy montre que la solidarité féminine s’exprime dans les moments les plus difficiles. Elle décrit, également, de quelle manière la discrimination sociale aveugle les jugements et que l’argent et la classe sociale donnent un pouvoir contre lequel il est difficile de se battre. Quand on le possède, il est aisé de détruire des réputations et d’acheter des mensonges qui conduisent à des drames. La vérité, peut-elle éclore dans un climat de corruption ? Quels sont ces secrets qui pèsent sur Liesel ? Elle-même ne le sait pas. Malheureusement, la parole ne se libère pas et c’est notre héroïne qui en subit les répercussions tragiques. Très attachée à elle, je tentais de comprendre pour quelle raison, ceux qui savaient ne parlaient pas. L’histoire se déroule au milieu des années 1920, en Alsace, qui est une région très marquée par la Première Guerre mondiale. L’auteure dépeint le déchirement cruel imposé à la population, pendant ces années terribles de combat. Un épisode, qui relate les ordres insoutenables reçus par les soldats alsaciens, m’a bouleversée. Enfin, tout au long du livre, je me suis questionnée au sujet d’une femme, prénommée Chris. Cette jeune femme a soutenu Liesel, à de nombreuses reprises, sans jamais révéler d’autres informations que son prénom. Qui est-elle ? La réponse n’est apportée qu’à la fin. Comme je l’ai déjà dit, les histoires de Marie-Bernadette Dupuy me parlent directement au cœur. J’ai eu un coup de cœur pour Les feux de Noël. Lorsque je ne le lisais pas, je ressentais, physiquement, le manque. Je n’avais qu’une hâte, c’était de continuer. Pourtant, j’attisais cette sensation de privation, car je ne voulais pas que ce roman magnifique se termine. Liesel est une héroïne passionnée, qui affronte les épreuves avec panache. Elle plie, mais ne rompt pas.
Marie-Bernadette Dupuy

Née à Angoulême le 30 octobre 1952, Marie-Bernadette Dupuy est une auteure qui aime la diversité. En effet, elle aborde avec aisance les biographies historiques, le mystère du surnaturel et les intrigues policières, sans oublier les romans.

C’est au décès de sa mère que Marie-Bernadette Dupuy décide de se consacrer à l’écriture et publie son premier roman, en 1985, ”Femmes Impériales”. Après une série de polars et de plusieurs livres portant sur la royauté, le succès débute enfin en 2002 lorsque les Editions JCL, une maison d’édition Canadienne, publie L’Orpheline du bois des Loups, l’histoire de Marie, une jeune orpheline aux prises avec les contraintes de son époque et de son milieu. Trois an plus tard, elle sortira la suite tant attendue La Demoiselle des Bories on l’on continue à suivre Marie, devenue femme, qui doit affronter son passé dans le contexte des Trente Glorieuses.

Marie-Bernadette Dupuy a écrit, à ce jour, une quarantaine d’ouvrages, dont beaucoup font partie de séries telles que, pour les plus populaires, L’enfant des neiges et L’orpheline de Manhattan.

Après avoir fait des rencontres bouleversantes, notamment en Poitou-Charente et en Corrèze, elle s’est également lancée dans le roman de terroir, avec notamment les séries La Galerie des jalousies et Le Moulin du Loup Elle est d’ailleurs responsable de “Promenade”, un magazine qui a pour but la découverte et la mise en valeur du patrimoine charentais.

En 2016, le nombre d’exemplaires de ses livres vendus dépassait les 4,5 millions, la plaçant dans le cercle des 20 écrivains les plus vendeurs de France. Si Marie-Bernadette Dupuy est si appréciée par une grande communauté de lecteurs, c’est pour sa façon de nous emporter dans des histoires captivantes aux personnages attachants.

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