Au fur et à mesure de mes lectures, chaque roman de Mélissa Da Costa a été une véritable surprise, et “Les Femmes du bout du monde” n'échappe pas à cette règle…
Mélissa a le don d’écrire des histoires qui sont dures et pourtant douces à la fois.
Autumn et Milly, sa fille, vivent à la pointe de la Nouvelle-Zélande, en face du pôle Sud. Ensembles, elles s'occupent d'un camping, au cœur d'une nature sauvage et encore préservée. Un jour Flore, une jeune Parisienne, débarque au camping et demande à Autumn, si elles ont besoin de bras supplémentaires pour gérer les tâches quotidiennes. Elle veut oublier sa vie à Paris et à vraiment besoin de faire le vide dans sa tête. Autumn accepte la proposition, sachant bien que la frêle femme ne tiendra pas longtemps à cause du climat très particulier de l'endroit, et comme les autres avant elle, finira par quitter ce nouveau travail. Mais Flore va lutter, elle a décidé de tout quitter pour partir très loin afin de fuir sa vie qui la faisait souffrir. Petit à petit, elle apprend à connaître les deux femmes, et ensemble finissent par s'apprivoiser…
Le travail au camping n'est pas désagréable du tout. Il est dur, fatiguant, mais elles s'entraident régulièrement.
Une nouvelle amitié va naître entre Flore et Milly une jeune fille innocente, pure et forte à la fois. Une amitié qui va très vite se transformer…
J'ai passé un excellent moment en compagnie de ces trois femmes auxquelles je me suis très vite attaché. Elles mènent une vie belle et simple au plus près de la nature. Mélissa nous fait découvrir des paysages sublimes de Nouvelle-Zélande, divers mammifères marins, des arbres couchés à cause de violentes bourrasques, de sublimes couchers de soleil, la mer jusqu'au bout de l'horizon et surtout la vie et les mœurs des Maoris. Une vraie découverte pour moi !
Tout est douceur et naturel. Une histoire simple et complexe à la fois. La vie n'a pas fait de cadeau à Flore. Milly qui apprend que son amour d'enfance et meilleur ami va se marier et quitter la région. Autumn qui élève seule sa fille malgré les blessures qu'elle doit soigner depuis le décès de Dan, son mari. Chacune d'elles lutte dans son quotidien.
C'est un roman qui m'a donné une envie de liberté et de contrées sauvages. Il y a beaucoup d'émotions, je me suis laissé envahir par ce récit très bien construit qui transforme la peine et la douleur en amour et en beauté.
Un septième roman magistral, à ne surtout pas manquer.
Au fur et à mesure de mes lectures, chaque roman de Mélissa Da Costa a été une véritable surprise, et “Les Femmes du bout du monde” n'échappe pas à cette règle…
Mélissa a le don d’écrire des histoires qui sont dures et pourtant douces à la fois.
Autumn et Milly, sa fille, vivent à la pointe de la Nouvelle-Zélande, en face du pôle Sud. Ensembles, elles s'occupent d'un camping, au cœur d'une nature sauvage et encore préservée. Un jour Flore, une jeune Parisienne, débarque au camping et demande à Autumn, si elles ont besoin de bras supplémentaires pour gérer les tâches quotidiennes. Elle veut oublier sa vie à Paris et à vraiment besoin de faire le vide dans sa tête. Autumn accepte la proposition, sachant bien que la frêle femme ne tiendra pas longtemps à cause du climat très particulier de l'endroit, et comme les autres avant elle, finira par quitter ce nouveau travail. Mais Flore va lutter, elle a décidé de tout quitter pour partir très loin afin de fuir sa vie qui la faisait souffrir. Petit à petit, elle apprend à connaître les deux femmes, et ensemble finissent par s'apprivoiser…
Le travail au camping n'est pas désagréable du tout. Il est dur, fatiguant, mais elles s'entraident régulièrement.
Une nouvelle amitié va naître entre Flore et Milly une jeune fille innocente, pure et forte à la fois. Une amitié qui va très vite se transformer…
J'ai passé un excellent moment en compagnie de ces trois femmes auxquelles je me suis très vite attaché. Elles mènent une vie belle et simple au plus près de la nature. Mélissa nous fait découvrir des paysages sublimes de Nouvelle-Zélande, divers mammifères marins, des arbres couchés à cause de violentes bourrasques, de sublimes couchers de soleil, la mer jusqu'au bout de l'horizon et surtout la vie et les mœurs des Maoris. Une vraie découverte pour moi !
Tout est douceur et naturel. Une histoire simple et complexe à la fois. La vie n'a pas fait de cadeau à Flore. Milly qui apprend que son amour d'enfance et meilleur ami va se marier et quitter la région. Autumn qui élève seule sa fille malgré les blessures qu'elle doit soigner depuis le décès de Dan, son mari. Chacune d'elles lutte dans son quotidien.
C'est un roman qui m'a donné une envie de liberté et de contrées sauvages. Il y a beaucoup d'émotions, je me suis laissé envahir par ce récit très bien construit qui transforme la peine et la douleur en amour et en beauté.
Un septième roman magistral, à ne surtout pas manquer.