Prix Albatros du meilleur récit de mer
Les enfants du cap Horn
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- Nombre de pages405
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.52 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-36423-013-2
- EAN9782364230132
- Date de parution24/02/2014
- ÉditeurCheminances Editions
Résumé
En ces temps actuels d'anglosaxomanie, le parler matelot de la voile et le patois du Pays de Caux utilisés par l'auteur enrichissent le texte avec bonheur. Dans les pas d'Armand Hayet et de Georges Aubin pour ne citer qu'eux, Jean-Pierre Ledru avec son style alerte revivifie notre littérature maritime. Le livre nous le montre, les marins du long-cours au temps des grands voiliers n'étaient pas des enfants de choeur, quoiqu'invoquant la Notre-Dame de chez eux dans les situations de danger et à qui ils promettaient leur chef d'oeuvre en ex-voto marin en cas de salut.
Ils employaient un langage cru, voire trivial parfois, et cependant quel véhicule d'images délicieuses, que d'humour et d'innocente tendresse dans leurs formules dont beaucoup comme "marin de gravure" ou "fatras de marine" par exemple, mériteraient d'être mieux connues du grand public. Sous des apparences frustres, ces hommes, endurcis par la pénibilité d'un métier hors du commun, savaient déployer des trésors de patience dans la fabrication de leurs maquettes et bateaux en bouteille au grand ravissement des jeunes fils du capitaine normand Georges Ledru.
Claude Briot La nouveauté apportée par Les enfants du cap Horn est l'observation d'un noyau familial normand : père, mère, enfant, embarqués ensemble pour de grands voyages transocéaniques, cohabitant avec un équipage d'hommes en pleine force de l'âge condamnés à un cruel manque d'affection pendant de longs mois. Le livre est préfacé par Claude Briot, Grand Prix de l'Académie de marine pour Clippers Français, ancien président du Centre havrais de recherche historique.
Ils employaient un langage cru, voire trivial parfois, et cependant quel véhicule d'images délicieuses, que d'humour et d'innocente tendresse dans leurs formules dont beaucoup comme "marin de gravure" ou "fatras de marine" par exemple, mériteraient d'être mieux connues du grand public. Sous des apparences frustres, ces hommes, endurcis par la pénibilité d'un métier hors du commun, savaient déployer des trésors de patience dans la fabrication de leurs maquettes et bateaux en bouteille au grand ravissement des jeunes fils du capitaine normand Georges Ledru.
Claude Briot La nouveauté apportée par Les enfants du cap Horn est l'observation d'un noyau familial normand : père, mère, enfant, embarqués ensemble pour de grands voyages transocéaniques, cohabitant avec un équipage d'hommes en pleine force de l'âge condamnés à un cruel manque d'affection pendant de longs mois. Le livre est préfacé par Claude Briot, Grand Prix de l'Académie de marine pour Clippers Français, ancien président du Centre havrais de recherche historique.
En ces temps actuels d'anglosaxomanie, le parler matelot de la voile et le patois du Pays de Caux utilisés par l'auteur enrichissent le texte avec bonheur. Dans les pas d'Armand Hayet et de Georges Aubin pour ne citer qu'eux, Jean-Pierre Ledru avec son style alerte revivifie notre littérature maritime. Le livre nous le montre, les marins du long-cours au temps des grands voiliers n'étaient pas des enfants de choeur, quoiqu'invoquant la Notre-Dame de chez eux dans les situations de danger et à qui ils promettaient leur chef d'oeuvre en ex-voto marin en cas de salut.
Ils employaient un langage cru, voire trivial parfois, et cependant quel véhicule d'images délicieuses, que d'humour et d'innocente tendresse dans leurs formules dont beaucoup comme "marin de gravure" ou "fatras de marine" par exemple, mériteraient d'être mieux connues du grand public. Sous des apparences frustres, ces hommes, endurcis par la pénibilité d'un métier hors du commun, savaient déployer des trésors de patience dans la fabrication de leurs maquettes et bateaux en bouteille au grand ravissement des jeunes fils du capitaine normand Georges Ledru.
Claude Briot La nouveauté apportée par Les enfants du cap Horn est l'observation d'un noyau familial normand : père, mère, enfant, embarqués ensemble pour de grands voyages transocéaniques, cohabitant avec un équipage d'hommes en pleine force de l'âge condamnés à un cruel manque d'affection pendant de longs mois. Le livre est préfacé par Claude Briot, Grand Prix de l'Académie de marine pour Clippers Français, ancien président du Centre havrais de recherche historique.
Ils employaient un langage cru, voire trivial parfois, et cependant quel véhicule d'images délicieuses, que d'humour et d'innocente tendresse dans leurs formules dont beaucoup comme "marin de gravure" ou "fatras de marine" par exemple, mériteraient d'être mieux connues du grand public. Sous des apparences frustres, ces hommes, endurcis par la pénibilité d'un métier hors du commun, savaient déployer des trésors de patience dans la fabrication de leurs maquettes et bateaux en bouteille au grand ravissement des jeunes fils du capitaine normand Georges Ledru.
Claude Briot La nouveauté apportée par Les enfants du cap Horn est l'observation d'un noyau familial normand : père, mère, enfant, embarqués ensemble pour de grands voyages transocéaniques, cohabitant avec un équipage d'hommes en pleine force de l'âge condamnés à un cruel manque d'affection pendant de longs mois. Le livre est préfacé par Claude Briot, Grand Prix de l'Académie de marine pour Clippers Français, ancien président du Centre havrais de recherche historique.