Les dragons. Mythologie, rites et légendes

Par : Bernard Sergent
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages400
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.64 kg
  • Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-36747-052-8
  • EAN9782367470528
  • Date de parution15/11/2018
  • CollectionUisulanios
  • ÉditeurYoran Embanner

Résumé

Les dragons figurent dans les mythes et dans les rites d'un nombre considérable de peuples. Ainsi, des dragons ont été fabriqués pour des fêtes et pour les rites initiatiques. Ce livre étudie donc les mythes et les rites du dragon. Il intervient dans de grandes fêtes célébrant l'exploit d'un dieu (en Grèce, en Inde, chez les Hittites, chez les Celtes), en particulier au solstice d'hiver ; dans un mythe, on voit comment un drame qui a vu une femme perdre son mari, Roi des Serpents, assassiné par ses frères, explique l'origine des arbres...
Les traditions celtes sont à l'honneur du fait de l'importance particulière du dragon dans celles-ci. Un chapitre entier montre de manière inédite jusque-là que les saints qui ont été vainqueurs d'un dragon se répartissent, par leurs dates calendaires, sur les quatre grandes fêtes de l'année celtique. Le chapitre sur le dragon hédoniste — il aime la musique ! — parle d'un dragon breton, tandis que les chapitres sur saint Marcel, à Paris, et sur saint Véran, dans les Alpes, montrent l'origine entièrement celtique de leurs légendes.
Ailleurs, à Lérins, la mythologie celtique s'est mêlée à un apport grec. Ainsi se décèle la richesse et la diversité des mythes sur les dragons.
Les dragons figurent dans les mythes et dans les rites d'un nombre considérable de peuples. Ainsi, des dragons ont été fabriqués pour des fêtes et pour les rites initiatiques. Ce livre étudie donc les mythes et les rites du dragon. Il intervient dans de grandes fêtes célébrant l'exploit d'un dieu (en Grèce, en Inde, chez les Hittites, chez les Celtes), en particulier au solstice d'hiver ; dans un mythe, on voit comment un drame qui a vu une femme perdre son mari, Roi des Serpents, assassiné par ses frères, explique l'origine des arbres...
Les traditions celtes sont à l'honneur du fait de l'importance particulière du dragon dans celles-ci. Un chapitre entier montre de manière inédite jusque-là que les saints qui ont été vainqueurs d'un dragon se répartissent, par leurs dates calendaires, sur les quatre grandes fêtes de l'année celtique. Le chapitre sur le dragon hédoniste — il aime la musique ! — parle d'un dragon breton, tandis que les chapitres sur saint Marcel, à Paris, et sur saint Véran, dans les Alpes, montrent l'origine entièrement celtique de leurs légendes.
Ailleurs, à Lérins, la mythologie celtique s'est mêlée à un apport grec. Ainsi se décèle la richesse et la diversité des mythes sur les dragons.