Les dictateurs amis de la France !?. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la politique africaine de la France et ceuxw qui la combattent

Par : Alexandre Foulon, Fabrice Tarrit

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  • Nombre de pages50
  • PrésentationBroché
  • Poids0.075 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN5552002294017
  • EAN5552002294017
  • Date de parution01/04/2006
  • ÉditeurSurvie

Résumé

Depuis les années soixante, la France confisque l'indépendance de ses anciennes colonies africaines en y maintenant un système d'exploitation clientéliste et néocolonial. Mise en place de dictateurs (complicité de coups d'État, fourniture d'armes et de mercenaires), soutien politique, économique et militaire à ces régimes, silence face aux exactions et crimes qu'ils perpétuent, validation d'élections truquées, sont encore aujourd'hui les activités de prédilection de la diplomatie française en Afrique. Les exemples les plus marquants nous sont donnés par le Togo de Gnassingbé Eyadéma, le Tchad d'Idriss Déby, le Congo de Sassou N'Guesso, sans oublier le Gabon d'Omar Bongo, le Cameroun de Paul Biya, la Mauritanie, Djibouti, etc. Au mois de mai 2004, l'association Survie (connue pour son combat contre le néocolonialisme en Afrique) a lancé une campagne de long terme contre ce soutien de la France aux dictateurs africains. Son titre "les dictateurs amis de la France ?!" exprime le questionnement et l'indignation suscités par les amitiés douteuses affichées par les plus hautes sphères de l'Etat français, à commencer par le président de la République, à l'égard de certains despotes bourreaux de leur propre peuple. Cette brochure qui se veut pédagogique (notamment grâce à ses fiches pays) vise à approfondir les thèmes et études de cas abordés par la campagne afin de fournir des outils de compréhension et d'argumentation sur cette thématique " universelle " du rejet de la dictature. Elle présente également une série de propositions sur lesquelles interpeller citoyens et pouvoirs publics français, en particulier les élus locaux (maires, conseillers régionaux) et nationaux (députés, sénateurs).
Depuis les années soixante, la France confisque l'indépendance de ses anciennes colonies africaines en y maintenant un système d'exploitation clientéliste et néocolonial. Mise en place de dictateurs (complicité de coups d'État, fourniture d'armes et de mercenaires), soutien politique, économique et militaire à ces régimes, silence face aux exactions et crimes qu'ils perpétuent, validation d'élections truquées, sont encore aujourd'hui les activités de prédilection de la diplomatie française en Afrique. Les exemples les plus marquants nous sont donnés par le Togo de Gnassingbé Eyadéma, le Tchad d'Idriss Déby, le Congo de Sassou N'Guesso, sans oublier le Gabon d'Omar Bongo, le Cameroun de Paul Biya, la Mauritanie, Djibouti, etc. Au mois de mai 2004, l'association Survie (connue pour son combat contre le néocolonialisme en Afrique) a lancé une campagne de long terme contre ce soutien de la France aux dictateurs africains. Son titre "les dictateurs amis de la France ?!" exprime le questionnement et l'indignation suscités par les amitiés douteuses affichées par les plus hautes sphères de l'Etat français, à commencer par le président de la République, à l'égard de certains despotes bourreaux de leur propre peuple. Cette brochure qui se veut pédagogique (notamment grâce à ses fiches pays) vise à approfondir les thèmes et études de cas abordés par la campagne afin de fournir des outils de compréhension et d'argumentation sur cette thématique " universelle " du rejet de la dictature. Elle présente également une série de propositions sur lesquelles interpeller citoyens et pouvoirs publics français, en particulier les élus locaux (maires, conseillers régionaux) et nationaux (députés, sénateurs).