Les corsaires barbaresques et la marine de Soliman le Grand
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-35676-116-3
- EAN9782356761163
- Date de parution28/02/2020
- ÉditeurBouchène (Editions)
- PréfacierAlain Blondy
Résumé
Au moment de la grande expansion ottomane, dans les années 1516-1520, les Turcs n'étaient pas des marins aguerris. La marine au service du sultan fut presque uniquement celles des corsaires grecs, dalmates ou albanais convertis à l'islam. Dans un premier temps, le sultan Selim, avait laissé toute liberté en mer à ces corsaires. Ce fut lorsque ceux-ci finirent par se tailler un domaine à Alger que l'on commença à parler des Barbaresques.
Dans son Doria et Barberousse (1886), l'amiral Edmond Jurien de la Gravière étudia la réussite du corsaire Khayr al-dîn Barberousse, qui impose en Méditerranée, de 1518 à 1538, la suprématie navale des flottes ottomanes et barbaresques. Les corsaires barbaresques et la marine de Soliman le Grand (1887), commence en 1538, au moment du dernier grand affrontement devant Prévéza entre l'amiral génois et le Qapidan Paya ottoman.
En Méditerranée occidentale et centrale, au temps des Barberousse (1518-1546) succéda celui de Dragut (1544-1565). Cependant, la bataille de Lépante marqua la fin des grandes guerres navales entre chrétiens et Ottomans. Elles cédèrent la place au XVIIe siècle à des escarmouches menées par les marines corsaires des deux camps.
Dans son Doria et Barberousse (1886), l'amiral Edmond Jurien de la Gravière étudia la réussite du corsaire Khayr al-dîn Barberousse, qui impose en Méditerranée, de 1518 à 1538, la suprématie navale des flottes ottomanes et barbaresques. Les corsaires barbaresques et la marine de Soliman le Grand (1887), commence en 1538, au moment du dernier grand affrontement devant Prévéza entre l'amiral génois et le Qapidan Paya ottoman.
En Méditerranée occidentale et centrale, au temps des Barberousse (1518-1546) succéda celui de Dragut (1544-1565). Cependant, la bataille de Lépante marqua la fin des grandes guerres navales entre chrétiens et Ottomans. Elles cédèrent la place au XVIIe siècle à des escarmouches menées par les marines corsaires des deux camps.
Au moment de la grande expansion ottomane, dans les années 1516-1520, les Turcs n'étaient pas des marins aguerris. La marine au service du sultan fut presque uniquement celles des corsaires grecs, dalmates ou albanais convertis à l'islam. Dans un premier temps, le sultan Selim, avait laissé toute liberté en mer à ces corsaires. Ce fut lorsque ceux-ci finirent par se tailler un domaine à Alger que l'on commença à parler des Barbaresques.
Dans son Doria et Barberousse (1886), l'amiral Edmond Jurien de la Gravière étudia la réussite du corsaire Khayr al-dîn Barberousse, qui impose en Méditerranée, de 1518 à 1538, la suprématie navale des flottes ottomanes et barbaresques. Les corsaires barbaresques et la marine de Soliman le Grand (1887), commence en 1538, au moment du dernier grand affrontement devant Prévéza entre l'amiral génois et le Qapidan Paya ottoman.
En Méditerranée occidentale et centrale, au temps des Barberousse (1518-1546) succéda celui de Dragut (1544-1565). Cependant, la bataille de Lépante marqua la fin des grandes guerres navales entre chrétiens et Ottomans. Elles cédèrent la place au XVIIe siècle à des escarmouches menées par les marines corsaires des deux camps.
Dans son Doria et Barberousse (1886), l'amiral Edmond Jurien de la Gravière étudia la réussite du corsaire Khayr al-dîn Barberousse, qui impose en Méditerranée, de 1518 à 1538, la suprématie navale des flottes ottomanes et barbaresques. Les corsaires barbaresques et la marine de Soliman le Grand (1887), commence en 1538, au moment du dernier grand affrontement devant Prévéza entre l'amiral génois et le Qapidan Paya ottoman.
En Méditerranée occidentale et centrale, au temps des Barberousse (1518-1546) succéda celui de Dragut (1544-1565). Cependant, la bataille de Lépante marqua la fin des grandes guerres navales entre chrétiens et Ottomans. Elles cédèrent la place au XVIIe siècle à des escarmouches menées par les marines corsaires des deux camps.