Les considérations religieuses et esthétiques d'un «Stürmer und Dränger». Etude des écrits théoriques de J.M.R. Lenz (1751-1792)
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- Nombre de pages650
- PrésentationBroché
- Poids1.2 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
- ISBN3-261-04989-8
- EAN9783261049896
- Date de parution31/12/1982
- CollectionPLG.HUMANITIES
- ÉditeurPeter Lang
Résumé
Elaborée entre 1770 et 1780, l'oeuvre théorique de J.M.R. Lenz a été souvent considérée comme étant l'émanation naturelle du Sturm und Drang. Sans doute est-il indéniable que Lenz participe au mouvement et qu'il en reprend, notamment dans sa polémique contre les classiques français et la règle des trois unités, les affirmations les plus extrêmes. Mais, qu'il se fasse penseur religieux et moraliste ou même théoricien du "génie", Lenz rejette toute révolte prométhéenne.
Reflet de la religiosité innée de son auteur, l'oeuvre théorique de Lenz fait clairement apparaître que ce dernier n'illustre en réalité qu'un aspect du Sturm und Drang, l'aspect modéré, voire conservateur, bien plus qu'il n'en est cette image la plus pure, cette incarnation la plus parfaite que, dans une simplification abusive, on pourrait être tenté de voir en lui.
Reflet de la religiosité innée de son auteur, l'oeuvre théorique de Lenz fait clairement apparaître que ce dernier n'illustre en réalité qu'un aspect du Sturm und Drang, l'aspect modéré, voire conservateur, bien plus qu'il n'en est cette image la plus pure, cette incarnation la plus parfaite que, dans une simplification abusive, on pourrait être tenté de voir en lui.
Elaborée entre 1770 et 1780, l'oeuvre théorique de J.M.R. Lenz a été souvent considérée comme étant l'émanation naturelle du Sturm und Drang. Sans doute est-il indéniable que Lenz participe au mouvement et qu'il en reprend, notamment dans sa polémique contre les classiques français et la règle des trois unités, les affirmations les plus extrêmes. Mais, qu'il se fasse penseur religieux et moraliste ou même théoricien du "génie", Lenz rejette toute révolte prométhéenne.
Reflet de la religiosité innée de son auteur, l'oeuvre théorique de Lenz fait clairement apparaître que ce dernier n'illustre en réalité qu'un aspect du Sturm und Drang, l'aspect modéré, voire conservateur, bien plus qu'il n'en est cette image la plus pure, cette incarnation la plus parfaite que, dans une simplification abusive, on pourrait être tenté de voir en lui.
Reflet de la religiosité innée de son auteur, l'oeuvre théorique de Lenz fait clairement apparaître que ce dernier n'illustre en réalité qu'un aspect du Sturm und Drang, l'aspect modéré, voire conservateur, bien plus qu'il n'en est cette image la plus pure, cette incarnation la plus parfaite que, dans une simplification abusive, on pourrait être tenté de voir en lui.