Les Compagnies des Indes

Par : Louis Mézin, Gérard Le Bouëdec, Philippe Haudrère

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  • Nombre de pages143
  • PrésentationRelié
  • Poids0.815 kg
  • Dimensions23,0 cm × 24,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7373-3869-7
  • EAN9782737338694
  • Date de parution05/09/2005
  • CollectionHistoire
  • ÉditeurOuest-France

Résumé

Ce livre sur les Compagnies des Indes constitue une première par son texte original et sa très riche iconographie. Avec le souci de faire comprendre l'organisation et le fonctionnement des compagnies qui avaient le monopole du commerce de l'Océan indien, les auteurs proposent aux lecteurs de découvrir toutes les étapes d'un voyage au long cours, depuis la construction des navires et leur armement à Lorient, la traversée de l'Atlantique et de l'Océan indien vers les comptoirs jusqu'au retour et aux ventes de soies, cotons, thés, cas, poivres et porcelaines à Nantes puis à Lorient. Ce commerce de l'Océan Indien est à l'origine de la fortune de Lorient. Ville-entreprise, à l'avenir incertain, elle vit au rythme des pulsations du commerce colonial, des départs, des retours, des ventes. Véritable sas dans lequel s'engouffrent les gens de mer, les négociants, les marchandises, les millions de livres, elle offre une société originale où la vie culturelle et les formes de sociabilité ont pu s'épanouir.
Ce livre sur les Compagnies des Indes constitue une première par son texte original et sa très riche iconographie. Avec le souci de faire comprendre l'organisation et le fonctionnement des compagnies qui avaient le monopole du commerce de l'Océan indien, les auteurs proposent aux lecteurs de découvrir toutes les étapes d'un voyage au long cours, depuis la construction des navires et leur armement à Lorient, la traversée de l'Atlantique et de l'Océan indien vers les comptoirs jusqu'au retour et aux ventes de soies, cotons, thés, cas, poivres et porcelaines à Nantes puis à Lorient. Ce commerce de l'Océan Indien est à l'origine de la fortune de Lorient. Ville-entreprise, à l'avenir incertain, elle vit au rythme des pulsations du commerce colonial, des départs, des retours, des ventes. Véritable sas dans lequel s'engouffrent les gens de mer, les négociants, les marchandises, les millions de livres, elle offre une société originale où la vie culturelle et les formes de sociabilité ont pu s'épanouir.